August 10, 2007

Plusieurs écrivains africains répondent au président français

Lettre ouverte à Nicolas Sarkozy • Plusieurs écrivains africains se joignent à Raharimanana pour répondre au président français.
Libé, le 10/8/07

Monsieur le Président,

Vous étiez venu dites-vous à Dakar nous parler — nous les Africains —, avec franchise et sincérité, vous étiez donc venu avec tout le fond de votre pensée, car c’est ainsi je crois qu’on qualifie la franchise et la sincérité, un échange sans fard et sans arrière-pensée. Nous prenons donc acte de la conception que vous avez de ce continent et de ses habitants. Vous étiez venu dites-vous pour nous assurer que la France s’associera à nous si nous voulons la liberté, la justice et le droit, mais permettez-moi d’être franc et sincère également.

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- Les jeux des grandes puissances qui font et défont les régimes -

Qui, des rabbins ou des officiers, fait la loi au sein de l'armée israélienne ?

Actualité | International
La colère de Tsahal contre les rabbins d'extrême droite
Le Figaro, le 10/8

La polémique enfle en Israël après le refus de soldats religieux de participer à l'évacuation de colons de Hébron.

QUI, des rabbins ou des officiers, fait la loi au sein de l'armée israélienne ? La polémique agite Israël. Tout a commencé mardi, lorsque douze soldats ont refusé de participer à l'évacuation de colons qui squattaient deux maisons à Hébron, dans un ancien marché palestinien. Les insoumis ont expliqué qu'après avoir consulté leurs rabbins, ils ne pouvaient obéir à des ordres « contraires à la loi religieuse ». L'évacuation a bien eu lieu, malgré quelques échauffourées. Quant aux militaires récalcitrants, ils ont été condamnés à 28 jours de mise aux arrêts.

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- La polémique enfle -

« La famille, en grande précarité, était connue des service sociaux » ?

FOIX (AFP) - Un bébé de quatre mois est décédé jeudi soir dans l'incendie d'un immeuble dans le centre-ville d'Ax-les-Thermes (Ariège) et son frère de cinq ans, qui se trouvait à priori dans l'appartement, était recherché vendredi matin, a-t-on appris de sources concordantes.

"Selon les témoignages recueillis hier soir, les pompiers auraient trouvé les parents sortant de l'immeuble avec le bébé, mais tout cela est à confirmer, l'enquête est en cours pour savoir exactement ce qu'il en est", a indiqué la directrice des services du cabinet de la préfecture d'Ariège, Véronique Castro.

Une autopsie aura lieu "très prochainement" pour déterminer les causes exactes -intoxication par les fumées ou brûlures - de la mort du bébé, un garçon dont le corps a été brûlé à 60%, a indiqué le procureur de la République à Foix, Antoine Leroy.

Les travaux de déblaiement ont commencé vendredi en milieu de matinée pour notamment retrouver le corps de l'enfant âgé de cinq ans qui, selon les témoins du drame, se trouvait aussi dans cet immeuble de trois étages et "est probablement mort carbonisé", a précisé M. Leroy. "Le troisième étage s'est effondré sur le deuxième", où les parents et leurs deux enfants résidaient, a ajouté M. Leroy, précisant que l'homme habitant au troisième étage était absent au moment du drame.

Une enquête a été ouverte et la brigade de recherche de Foix saisie. Un expert devait être dépêché vendredi en milieu de journée sur les lieux du drame pour déterminer les causes de l'incendie, selon le procureur de la République.

De l'extérieur, les dégâts étaient peu visibles à l'exception de la toiture, qui a entièrement brûlé, et des traces de fumée au niveau du troisième étage, selon des témoins. L'incendie s'était déclaré vers 19H30-20H00 dans ce bâtiment ancien et étroit du vieux centre-ville d'Ax, où les maisons sont collées les unes aux autres dans des rues étroites. Il a été circonscrit vers minuit par une cinquantaine de pompiers.

Le maire d'Ax-les-Thermes, Alain Chênebeau, a rendu hommage vendredi matin aux pompiers, qui ont pu circonscrire l'incendie au seul immeuble d'où était parti très rapidement le feu. Onze voisins ont été relogés dans la nuit et le quartier évacué par précaution.

Agés d'une quarantaine d'années, les parents, incommodés par la fumée mais surtout "compte tenu du traumatisme psychologique" qu'ils ont subi, ont été transportés au centre hospitalier à Foix et devraient pouvoir être interrogés dans la journée de vendredi, selon M. Leroy.

La famille, en grande précarité, était connue des service sociaux. Ils étaient arrivés dans cette station de ski pyrénéenne en 2005 et le père travaillait par intérim dans les espaces verts.


- Un bâtiment ancien et étroit du vieux centre-ville -

Le Japon, « l'île des enfants perdus »


Chute de l'enfant : le PS demande des explications
TF1-LCI, extrait

Sarkozy, Fillon, l'opposition... A la suite de la chute accidentelle d'un enfant russe survenue lors de l'interpellation à Amiens de sa famille en situation irrégulière, le monde politique a unanimement demandé que toute "la lumière soit faite".

Jeudi, le Parti Socialiste a souligné "sa très grande inquiétude face aux nombreuses poursuites de parents étrangers et de leurs enfants scolarisés". Après l'annonce de l'ouverture d'une enquête d'inspection, par le gouvernement, Nicolas Sarkozy qui réclame des explications, a "noté que les dispositions ont été prises, aussi bien sur le plan judiciaire qu'administratif". Brice Hortefeux, ministre de l'Immigration, de l'Intégration et de l'Identité nationale, s'est engagé à "rendre public le rapport de l'Inspection générale de la police nationale, en toute transparence" et à en "tirer les conséquences."

Le Premier ministre a pour sa part témoigné "de toute sa compassion aux parents du jeune. Si la politique de l'immigration voulue par la Nation, et mise en oeuvre sous l'égide de Brice Hortefeux, nécessite une fermeté et un engagement fort de tous les agents de l'Etat, il est évidemment nécessaire de faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame."


Il chute du toit en rendant visite à sa petite amie
TF1-LCI, 8/8/07, 16h47

Il avait fait le mur pour rendre visite à sa petite amie, mercredi en pleine nuit, mais sa chute du toit a mis fin à son projet. Avec les fortes pluies, l'amoureux, a glissé et a chuté de 5 mètres dans l'allée du pavillon de sa dulcinée, à Epinay-sur-Orge, dans l'Essonne.

Reportage
Le Japon, l'île des enfants perdus
LE MONDE | 09.08.07 | Extrait

Minuit passé. Devant la machine à boissons chaudes, il attend que son gobelet se remplisse. La trentaine, jeans et tee-shirt bleu, les cheveux en broussaille. "Cool" comme des milliers de ses congénères croisés auparavant dans les rues du quartier branché de Shibuya à Tokyo. "Vous, vous cherchez un nouveau pauvre ?, dit-il, avec un sourire amer. Bingo ! Vous l'avez. Trente ans, une vingtaine de boulots sans lendemain. Depuis trois mois, je vis ici avec un petit sac et des sous-vêtements jetables. Je suis un "one call worker" : enregistré auprès d'une agence de placement qui m'appelle sur mon portable quand il y a un boulot. Dans les 1 000 yens de l'heure. Je dépense 1 500 yens pour ma nuit. Je mange dans des McDo. Humiliant, non ? Le gouvernement parle de "seconde chance" pour les perdants comme moi, poursuit le jeune homme. Mais y en a marre : on ne quémande pas une chance, un coup de bol. On veut une vie décente, c'est tout. Mon nom ? Je suis personne dans cette société." Dans le gobelet, le café refroidit. Il le prend, puis, sur un "Salut !", part vers son box.

Les cafés Internet offrent un condensé de la société japonaise contemporaine : prospère, lisse et efficace en surface, mais parcourue d'ondes souterraines dénotant malaise et dysfonctionnements.


- Que toute « la lumière soit faite » -

Eric Ghozlan, Directeur du pôle Enfance


La diaspora solidaire
Tribune Juive n° 20, extraits

Quand la terre d’Israël et ses habitants sont touchés, c’est le coeur de tous les Juifs qui saigne. Lors du conflit opposant l’État hébreu au Hezbollah, la communauté de France s’est mobilisée. Hommage à de belles initiatives.

Tomer n’a que 15 ans, et pourtant la gravité de son regard en dit long sur un tragique basculement dans l’âge adulte. Il fait partie de la dizaine d’enfants de la ville de Maalot accueillis en France par l’OSE (l’OEuvre de secours à l’enfance) avec l’aide de l’AUJF (Appel unifié juif de France).

(...) C’est lors d’un séjour à Jérusalem qu’Éric Ghozlan, directeur de la maison d’enfants de Draveil, où des jeunes Israéliens sont reçus, a pris conscience de la nécessité d’agir. « Un nombre important de réfugiés du Nord étaient accueillis dans des hôtels. Ils avaient fui en emportant le minimum, certains se promenaient même en chaussons. Une travailleuse sociale venue spécialement de Hollande, Dina Weill, a proposé à des enfants de faire des dessins. En tant que psychologue, j’ai été frappé par le traumatisme qui émanait de leurs illustrations très réalistes représentant des abris clos, suffocants, et surtout la peur. »

Eric Ghozlan, Directeur du pôle Enfance : "construire ensemble une nouvelle politique de l'Enfance"

Le 08/06/2007
Actualité de l'OSE, extraits

Jeudi 7 juin a été dévoilé, devant les salariés rassemblés, le nom du Directeur du pôle Enfance de l’OSE : Eric Ghozlan. A cette place, il est dans la lignée de la regrettée Vivette Samuel, Directrice de l’enfance, en 1979.

(...) Tout comme notre association, il poursuit un idéal de justice, rapporté au domaine d’action qu’il a choisit, c'est-à-dire, le soutien à l’enfance. Ses valeurs : « l’écoute, la tolérance, le respect et l’accueil ».

C’est donc sans crainte et avec la détermination qui le caractérise qu’il mesure l’importance de la mission passionnante et complexe dont l’OSE l’investit aujourd’hui. « L’enfance est historiquement le cœur de l’OSE qui consacre 80% de son activité au pôle Enfance. Nos professionnels accompagnent plus de 1000 enfants et leurs familles. Hormis la colonie, les douze autres services de ce pôle sont financés et contrôlés par les pouvoirs publics ».

Les objectifs du Directeur du pôle Enfance sont d’ores et déjà fixés.

Eric Ghozlan entend en effet « réaffirmer le projet associatif qui fixe comme mission prioritaire de s’occuper d’enfants juifs dans le respect de la laïcité

Articuler cette exigence avec l’ouverture aux enfants d’autres cultures en gardant notre mission de service public

Adapter aussi notre développement à la politique de décentralisation de la protection de l’enfance en créant des structures de proximité assurant prévention, orientation, soutien, actions éducatives et placement ».

Installé désormais au siège, le Directeur du pôle Enfance va travailler en lien étroit avec le Directeur général et les directeurs d’établissements et de services « dans un esprit de dialogue ». Il aura pour interlocuteurs, les instances professionnelles, les inter secteurs de la pédopsychiatrie, les tribunaux pour enfants et les départements.

D'après l'ONU, la bande de Gaza est au bord de l'asphyxie
LEMONDE.FR | 09.08.07

"Si le régime de blocus continue comme aujourd'hui, Gaza risque de devenir une communauté 100 % dépendante de l'aide internationale, isolée et refermée sur elle-même", prévient Filippo Grandi, numéro deux de l'UNRWA, l'agence de l'ONU chargée des réfugiés palestiniens.

Pour le responsable onusien, la bande de Gaza, désormais sous contrôle du Hamas, se retrouvera bientôt menacée d'implosion économique si les pays limitrophes n'ouvrent pas leurs frontières. Depuis la mi-juin, Israël et l'Egypte n'autorisent que le passage de l'aide humanitaire, protestant contre la mainmise du Hamas.

(...) C'est pourquoi il exhorte l'Autorité palestinienne, Israël et les autres pays limitrophes à rouvrir les points de passage, sous peine de voir se développer à Gaza des "conséquences désastreuses, une atmosphère de désespoir favorable au développement de l'extrémisme".




« Olmert rend visite à Abbas », par Chapatte • Yahoo!



The Associated Press
- 06/08/07 à 19:15:02 - 683 mots

Monde
Première rencontre Olmert-Abbas en territoire palestinien

Ehoud Olmert est devenu lundi le premier chef du gouvernement israélien à se rendre dans une ville palestinienne depuis le début de la deuxième Intifada, il y a sept ans. Sous haute protection, il a rencontré à Jéricho, en Cisjordanie, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas pour évoquer notamment la création d'un Etat palestinien.

M. Olmert, qui a déclaré à M. Abbas être venu pour discuter de "questions fondamentales", a pris un risque pour sa sécurité se rendant dans cette ville mais il a aussi fait un geste symbolique en faveur de Mahmoud Abbas, qui accueille enfin sur ses terres le Premier ministre israélien.

Il est arrivé dans un convoi de voitures, surveillé par deux hélicoptères, avant de descendre dans un hôtel cinq étoiles situé à quelques centaines de mètres d'un poste de contrôle permanent de Tsahal, l'armée israélienne, installé dans la banlieue de Jéricho. Les deux hommes se sont salués devant l'hôtel. "Je suis ravi de vous voir", a déclaré M. Olmert à M. Abbas.

L'entretien a pris fin trois heures plus tard, et le convoi de M. Olmert a quitté Jéricho en direction de Jérusalem. Les deux parties ont qualifié la rencontre de "constructive" mais n'ont pas fait état de progrès significatifs.

M. Abbas "n'est pas venu à la rencontre avec une baguette magique, pas plus que M. Olmert", a déclaré Saeb Erekat
, proche collaborateur du président palestinien, lors d'une conférence de presse après l'entretien. "Il y a un accord sur une série de rencontres pour discuter de ces questions, parmi lesquelles la création d'un Etat palestinien", a-t-il ajouté.

David Baker, un porte-parole de M. Olmert, a affirmé que les deux hommes n'avaient pas évoqué les questions centrales du conflit, ni mené des négociations. "Les deux parties ont décidé d'élargir le champ de leurs discussions pour mieux se comprendre (...) afin de permettre de nouveaux progrès en vue de la création d'un Etat palestinien", a déclaré M. Baker.

La rencontre s'est déroulée dans une des régions les plus calmes de Cisjordanie. Toutefois, elle représentait un défi pour le détachement chargé de protéger M. Olmert, les forces de sécurité de M. Abbas en Cisjordanie étant toujours fragiles. En juin, elles n'ont pas réussi à empêcher les militants du Hamas de prendre de force le contrôle de la Bande de Gaza.

Cette visite était aussi un test pour la coordination de la sécurité entre Israéliens et Palestiniens en Cisjordanie. Tsahal a bouclé les postes de contrôle autour de Jéricho, alors que la police palestinienne bloquait les routes autour de l'hôtel.

Mahmoud Abbas et Ehoud Olmert se sont rencontrés à plusieurs reprises ces derniers mois pour tenter de trouver des moyens de reprendre les pourparlers de paix dans l'impasse. Ils doivent aussi préparer une conférence internationale sur le Proche-Orient prévue aux Etats-Unis au mois de novembre.

Les deux parties semblaient toutefois nourrir des espoirs contradictoires. Les Palestiniens souhaitaient que les deux dirigeants esquissent le contour d'un accord de paix définitif, qui doit être présenté lors de la conférence aux Etats-Unis, a déclaré lundi le négociateur palestinien Saeb Erekat.

Les quatre questions centrales concernant un futur accord de paix sont celles des frontières définitives d'un Etat palestinien, d'une division de Jérusalem, d'un retrait des colonies israéliennes, et du sort des réfugiés palestiniens. "Ce qu'ils doivent faire, c'est établir les paramètres pour régler toutes ces questions", a déclaré M. Erekat. "Une fois que les paramètres seront établis, alors cela peut être remis aux experts" pour élaborer une version préliminaire.

M. Olmert est resté plus prudent. "Je suis venu ici pour discuter avec vous des questions fondamentales en suspens entre Israël et l'Autorité palestinienne, en espérant que cela va nous conduire bientôt à des négociations sur la création d'un Etat palestinien", a-t-il dit au début des discussions, avec Mahmoud Abbas debout à ses côtés. AP


- « Dans un esprit de dialogue » ? -

Maïs transgénique, le débat se tend


PARIS (AFP), extrait - L'ex-porte-parole de la Confédération paysanne José Bové a déclaré jeudi qu'il refusait de "polémiquer" sur le suicide d'un exploitant agricole du Lot qui cultivait du maïs génétiquement modifié, reprochant à la FNSEA de s'être emparée de l'affaire à des fins politiques.

Soulignant le nombre de suicides d'agriculteurs en France, "un chaque jour" selon lui, l'ancien candidat à l'élection présidentielle a déclaré à l'AFP qu'il ne voulait pas "polémiquer" par rapport à ce suicide, lui "donner une signification, dans un sens ou dans un autre".

"Un suicide c'est toujours un drame personnel, pour la personne et la famille. Personne n'en connaît les raisons", a-t-il dit. "Dans son village, il y a quatre mois, un de ses voisins s'était déjà suicidé", a-t-il ajouté.

PARIS (Reuters) - Une parcelle de maïs transgénique a été détruite dans la nuit de lundi à mardi dans un champ à Lussas, dans l'Ardèche, apprend-on auprès du collectif anti-OGM du département.

Cette action, qui n'a pas été revendiquée, fait suite au suicide le 5 août d'un cultivateur du Lot, où des anti-OGM devaient tenir un pique-nique devant sa parcelle de maïs OGM.

Dans l'Ardèche, une partie de la parcelle, soit environ 17.000 pieds de maïs, a été neutralisée. Le propriétaire a porté plainte pour destruction de biens.

"Nous ne revendiquons pas cette action. Depuis le début de l'été, nous sommes dans une démarche de négociation avec les paysans concernés pour les convaincre de rompre leur contrat avec le semencier Limagrain", a déclaré à Reuters Olivier Keller, responsable du dossier OGM à la Confédération paysanne.

La Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) a accusé les militants anti-OGM, en particulier les "Faucheurs volontaires", d'avoir une responsabilité dans le suicide de l'agriculteur du Lot.

"Il n'a pas pu supporter l'idée d'être mis en cause" par "des militants irresponsables" et que ses parcelles de maïs OGM "puissent être détruites", dit-elle dans un communiqué.

"Je rappelle quand même qu'en Inde des centaines de paysans se suicident quand ils constatent leur dépendance aux semenciers", rétorque Olivier Keller.


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- La FNSEA a accusé les militants anti-OGM -

Les parents de Maddie pourraient quitter le Portugal

Les parents de Maddie pourraient quitter le Portugal
20minutes.fr

Décidément, rien ne va plus pour les parents de la petite Maddie, qui aura disparu samedi depuis 100 jours. Éventuellement suspectés par la police, ils ne sont aussi plus les bienvenus dans la petite localité de Praïa da Luz, où a disparu leur fillette le 3 mai dernier.

«Mauvaise réputation»

Selon l’avocat de Robert Murat, le seul suspect officiel, les habitants de Praïa da Luz souhaitent que les McCann partent, «car ils donnent mauvaise réputation à la ville». L’avocat a aussi critiqué les parents pour avoir laissé leurs enfants sans surveillance. «C’est quelque chose qui ne se fait pas.»

Retrouvez tous les articles sur la disparition de Maddie en cliquant ici.

Kate McCann, la mère, a répondu qu’elle ne partirait pas sans Maddie.

MGM, février 2005

En 1984, Betty Mahmoody accepte de suivre son mari Moody d'orgine iranienne dans son pays d'origine pour les vacances. Très vite, l'homme est influencé par le fondamentalisme ambiant et refuse de la laisser repartir vers les Etats-Unis avec la fille du couple.



- « C’est quelque chose qui ne se fait pas » -

« Si vous n’avez rien compris à l’affaire Manaudou... »

Manaudou : qui ment ?
20minutes.fr, extrait :

Si vous n’avez rien compris à l’affaire Manaudou, cliquez ici.

LaPresse, son président Marco Durante et son directeur Général Paolo Penso se disent jeudi soir «obligés d'intervenir à nouveau en réponse à une lourde campagne de désinformation, apparemment menée par Jean-Luc Manaudou, mais inspirée probablement d'ailleurs».

«Si la multitude d'accusations envers Marco Durante sur un ton inacceptable» rapportées dans la presse «ne sont pas manipulées mais constituent des affirmations de Jean-Luc Manoudou», alors «nous sommes face à un comportement gravement illicite auquel nous devrons évidemment répondre», menace le club.

«Acharnement»

Il s'étonne que dans plusieurs interviews, le père de la nageuse «viole la confidentialité de Laure Manaudou en alimentant une polémique, qui nuit certainement à la jeune athlète française».

«Un tel acharnement qui se concentre avec obsession sur des aspects économiques et commerciaux, et qui a évidemment pour but de discréditer Marco Durante et la société LaPresse, ne peut qu'être mené par quiconque a des intérêts principalement, si non exclusivement, économiques dans l'affaire».

Si vous n’avez rien compris à l’affaire Manaudou…
20minutes.fr, extrait

Qu’est-ce que c’est que cette histoire de contrat ?

On touche ici au nœud de l’affaire.
Le 27 juillet dernier, Laure Manaudou se retrouve dans le bureau de Marco Durante (patron de LaPresse) en compagnie de Cristiano Portas (directeur d’Arena, le sponsor de la nageuse). A ce moment, elle commet une grosse boulette : elle accepte de signer un contrat d’image jusqu’en 2011.


- « Affaire Manaudou  qui ment ? » -

August 9, 2007

9 août 1945 : Nagasaki





Visuel interactif
Nagasaki. Paroles de survivants
LEMONDE.FR | 06.08.07

Katsuji Yoshida, atomisé à l'âge de 13 ans, à 850m de l'épicentre.

En 2005, Katsuji s'est rendu à Chicago pour accompagner l'exposition A-bomb : 60 Years Later présentée au Peace Museum. A cette occasion, il a visité des écoles et répondu aux questions de jeunes américains.

« Qu'est-ce que c'était déjà, la première question qu'ils m'ont posée... Ah oui : `'Pourquoi le Japon a-t-il attaqué Pearl Harbor ?" J'ai mis les choses au point : quand le Japon a attaqué Pearl Harbor, moi j'étais en 4e année d'école primaire ! »


TOKYO (Reuters) - Le Japon a commémoré jeudi le 62e anniversaire du bombardement nucléaire de Nagasaki où le maire a affirmé que le monde était confronté à une crise en matière de prolifération nucléaire.

Des milliers d'enfants et de survivants se sont rassemblés au parc de la Paix à Nagasaki où ils ont observé une minute de silence à 11h02 (02h02 GMT), l'heure à laquelle la bombe a été larguée, à la mémoire des 140.000 victimes du bombardement.


- Une bombe controversée -

Le C.E. d'Hospitalor dépose plainte contre X pour faux





En page 16/Région du Républicain Lorrain du 9 août 2007 :

Manque de transparence
L'expert, le cabinet Legrand à Aulnay-sous-Bois, a déposé son rapport le 14 juin 2007. Il constate des « irrégularités dans les comptes et un manque de transparence » indique l'avocat messin. Le comité d'entreprise, estimant que ces irrégularités constituent des infractions pénales, dépose donc plainte le 1er août dernier, pour les dites infractions.


La maman de mon aînée est décédée dans un établissement d'Hospitalor, laissée sans soins ni examens appropriés, voir au 2 septembre 2005, « La disparition subite de la maman ». Le juge pour enfant de Nanterre tendrait pour sa part à considérer qu'il n'y a pas la moindre anomalie ou malversation.




Extrait de la page 16




Extrait de la page 16


- Manque de transparence -

Britney cumule les débordements, et, « logiquement », Kevin Federline s'inquiète

Canalstars - Jeudi 9 août, 14h37

Britney Spears n'en finit plus de cumuler les débordements, et, logiquement, Kevin Federline s'inquiète. Plus pour leurs petits garçons que pour son ex. Selon le site TMZ.com, l'avocat de l'apprenti-rappeur vient d'ailleurs de déposer devant le tribunal une requête afin d'éloigner Sean Preston et Jayden James de leur mère. Jusqu'à présent, le couple s'était mis d'accord pour se partager équitablement la garde des bambins mais K-Fed aimerait en obtenir davantage. Et pourquoi pas son intégralité ?

Preuve supplémentaire que la guerre est bel et bien rouverte entre les ex-époux ?
Selon le Star, la chanteuse reprocherait à sa mère, Lynne, d'avoir eu des relations sexuelles avec Kevin ! Et pendant qu'ils étaient mariés qui plus est... Ce qui expliquerait pourquoi maman Spears aurait pris le parti de son ancien gendre. Des allégations sans doute farfelues mais qui démontre, une nouvelle fois, que ça ne tourne décidément plus très rond chez Britney...




« Intempéries, la Suisse boit la tasse » • lematin.ch


Public.fr - Jeudi 9 août, 14h28

Britney Spears est un vrai danger public ! Alors qu´elle garait sa rutilante Mercedes pour aller à la pharmacie, la chanteuse a percuté une autre voiture. Mais, le pire c´est qu´après avoir inspecté les dommages à son véhicule, Brit-Brit est partie en ne prenant même pas la peine de jeter un coup d´ oeil aux éventuels dégâts sur le véhicule embouti. Plus égoïste et irresponsable, tu meurs !


- Et pourquoi pas son intégralité ? -

Fillon demande une enquête


France
Publié le 09 août 2007 à 18h28
Sans-papiers : le préfet de Limoges tancé

Le préfet de Haute-Vienne a été condamné à 1.500 euros d'amende pour "recours abusif à la justice" après avoir provoqué une audience sur une prolongation de rétention d'un sans-papiers malgré l'hospitalisation de ce dernier.


France
Publié le 09 août 2007 à 20h06
Enfant sans-papiers/coma : Sarkozy réagit

Le président Nicolas Sarkozy a souhaité que "toute la lumière soit faite" sur la chute accidentelle d'un enfant russe survenue lors de l'interpellation à Amiens de sa famille en situation irrégulière, exprimant dans un communiqué sa "tristesse" face à de drame.

"J'ai pris connaissance avec tristesse de l'accident dont un enfant de 12 ans a été victime le 9 août à Amiens, alors que les services de police, à la demande de la justice, cherchaient à entendre ses parents dans le cadre d'une procédure pour séjour irrégulier", déclare le chef de l'Etat.




Devant l'Hôtel de Ville à Paris • LEMONDE.FR


PARIS (AP) - Le Premier ministre François Fillon a demandé jeudi l'ouverture d'une enquête de l'IGPN, qui s'ajoutera à l'enquête judiciaire ouverte par le parquet, après la chute depuis la fenêtre d'un immeuble d'Amiens (Somme) d'un enfant sans-papiers qui tentait de fuir la police en compagnie de son père.

L'enfant âgé de 12 ans a été gravement blessé et serait tombé dans le coma. "J'ai très peur", a déclaré la mère d'Ivan, Natalia Aboueva. "J'espère que mon fils est en bonne santé parce que pour moi, c'est très grave...". "Quand les voisins ont vu que les serruriers commençaient à défoncer la porte, ils ont voulu sauter par la fenêtre de derrière leur appartement (...) Ca aurait pu être pire, car la maman voulait aussi se jeter par la fenêtre et j'ai réussi à (la) calmer", a raconté un voisin, Josué Mayuemba, sur France-3.

Dans un communiqué, M. Fillon "déplore la chute accidentelle" de cet enfant et "témoigne de toute sa compassion" aux parents d'Ivan. Si la politique de l'immigration "nécessite une fermeté et un engagement fort de tous les agents de l'Etat, il est évidemment nécessaire de faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame", ajoute-t-il. C'est pourquoi il a demandé "une enquête d'inspection, sans préjudice évidemment de l'enquête judiciaire ouverte par le parquet" d'Amiens. "Les conclusions de cette enquête seront rendues publiques", promet M. Fillon.

Selon le ministre de l'Immigration Brice Hortefeux, l'enfant est tombé du cinquième étage alors que "les services de la direction départementale de la sécurité publique de la Somme se présent(aient) au domicile d'un couple de ressortissants étrangers en situation irrégulière". Il confirme dans un communiqué avoir "demandé au directeur général de la police nationale de diligenter une enquête de l'Inspection générale de la police nationale".

Apprenant avec "tristesse" cet accident, Nicolas Sarkozy, qui dit être "tenu très régulièrement informé" de l'évolution de l'état de santé de l'enfant, souhaite dans un communiqué que "toute la lumière soit faite sur les circonstances de ce drame".

Les policiers concernés sont "tout à fait habitués à ces procédures administratives" et sont "intervenus dans des conditions posées, sans violence particulière, à une heure tout à fait normale", a assuré Patrick Beau, procureur d'Amiens, lors d'une conférence de presse.

"La vie d'un enfant vaut-elle une expulsion?", a réagi la Ligue des droits de l'Homme dans un communiqué. "La politique menée par l'actuel, comme par le précédent, gouvernement ne cesse de provoquer des drames humains sans pour autant résoudre ce contre quoi elle prétend lutter", estime la LDH.


- Que « toute la lumière soit faite » -

Le Conseil constitutionnel a rejeté le recours contre le projet de loi sur la récidive

20minutes.frIntel retire une publicité jugée raciste

Un homme type manager blanc, debout, pose fièrement pendant que six athlètes noirs sont à ses pieds, installés dans des starting-blocks. C’est la dernière affiche de publicité du constructeur de processeur Intel. Une affiche jugée raciste par Gizmodo et The Register, deux blogs high-tech qui ont été les premiers à avoir pointé du doigt le col blanc et les six athlètes noirs. Depuis, de nombreux sites ont relayé l’information et l’affiche compromettante mettant la pression sur le numéro un mondial du processeur. Finalement, la fronde du Web a payé puisque la publicité a été retirée par le fabricant californien.

Publicité «Insultante»

Et, c’est assez rare pour ne pas le noter: Intel, par la voix de son directeur marketing, Don MacDonald, avoue avoir fait «une grosse erreur». Ce dernier reconnaît que la position subalterne des six sprinters Afro- américains est «insultante». Et de promettre que cela n’arrivera plus. Intel affirme avoir remis dans les cartons des centaines d’affiches mais se déclare «incapable de retrouver deux d’entre elles».




La publicité Intel jugée « insultante », raciste


PARIS (Reuters) - Le Conseil constitutionnel a rejeté le recours déposé par les députés socialistes contre le projet de loi sur la récidive, qui est ainsi validé, apprend-on auprès du conseil.

Ce projet, adopté le 26 juillet par le Parlement, instaure des peines minimales pour les récidivistes et exclut, dans certains cas, l'excuse de minorité pour les mineurs multirécidivistes de plus de 16 ans.

Les groupes UMP et Nouveau centre (NC) ont voté ce premier texte de la législature, défendu par la ministre de la Justice, Rachida Dati.

Les groupes de l'opposition, socialiste, radical et citoyen (SRC) et gauche démocrate et républicaine (GDR) ont voté contre ce projet de loi critiqué par certains professionnels (magistrats, éducateurs, policiers) qui réclament que soient déjà donnés les moyens d'appliquer les lois en vigueur.

Saisi par des élus socialistes, le Conseil constitutionnel a jugé que l'instauration de peines minimales, dans les conditions fixées par la loi, ne "porte pas atteinte au principe de nécessité des peines" ni "au principe d'individualisation des peines."

De même, il a jugé que la loi "ne porte pas atteinte aux exigences constitutionnelles propres à la justice des mineurs", précise un communiqué.

"La loi maintient le principe selon lequel les mineurs de plus de seize ans bénéficient d'une atténuation de peine. Par exception, cette atténuation ne s'applique pas lorsque certaines infractions graves ont été commises pour la troisième fois", souligne-t-il. "Toutefois, le tribunal pour enfants peut en décider autrement par décision spécialement motivée", dit-il.

Enfin, le Conseil a rappelé, ainsi qu'il ressortait de l'intention du gouvernement et des débats parlementaires, que "la juridiction compétente, en application de l'ordonnance de 1945, pouvait toujours prononcer une mesure éducative, même pour un mineur récidiviste."




Une publicité jugée « blasphématoire »


Censure
De l’ordre moral à l’ordre religieux
Les juges condamnent une image pour blasphème

Un article sur LDH-France, extrait :

Au nom de la liberté d’expression, la LDH s’est constituée partie civile dans l’affaire de la publicité inspirée de La Cène de Léonard de Vinci que l’association Croyances et Libertés, créée par la Conférence des évêques de France, a voulu interdire au nom du « droit au respect des croyances ». L’ordonnance de référé comme la décision qui l’a confirmée en appel sont de nature à inquiéter tous ceux qui refusent que la vie sociale soit régentée par les gardiens d’un dogme, quel qu’il soit.


- Intel retire une publicité jugée raciste -

RSF manifeste à Paris Plages

RSF manifeste à Paris Plages pour la liberté d'expression en Chine
LEMONDE.FR | 08.08.07

Copie écran d'une video sur le Monde.fr :





L'impact de la fièvre aphteuse sur l'économie britannique en question
LE MONDE | 09.08.07

Abattages préventifs, symboliques rubans jaunes des barrières sanitaires isolant le périmètre de sécurité, embargo européen sur les exportations de bêtes et de produits animaux "made in Britain" : malgré l'annonce, le 8 août, de la levée partielle de l'interdiction des déplacements des animaux vers les abattoirs, l'actuelle épizootie de fièvre aphteuse, bien que circonscrite, aura un impact sur l'économie britannique. Le monde agricole redoute une répétition de la crise dévastatrice de 2001 qui avait coûté 8,5 milliards de livres (12 milliards d'euros).


Le pouvoir marocain lance une offensive contre la presse
LE MONDE | 09.08.07

"J'ai donné l'impression d'avoir oublié l'étiquette, alors que je m'adressais au roi ! Je lui ai parlé comme à un homme, lui, le "Commandeur des croyants" ! Au Palais, ils ont pris cela pour une insolence, alors que mon intention n'était pas du tout d'être insultant", déplore Benchemsi.


LONDRES (AFP) - Les autorités sanitaires britanniques ont annoncé jeudi enquêter sur un cas de légionnellose au sein de l'Institut de la santé animale (IAH), un laboratoire public déjà suspecté d'être impliqué dans la diffusion du virus de la fièvre aphteuse.


International
Publié le 09 août 2007 à 22h00
GB : le niveau de légionelle "insignifiant"
Le niveau de présence de la légionnelle au sein de l'Institut de la santé animale (IAH) à Pirbright au sud-est de l'Angleterre est "insignifiant", a déclaré aujourd'hui le laboratoire public qui est suspecté par ailleurs d'être impliqué dans la diffusion du virus de la fièvre aphteuse.


- RSF manifeste pour la liberté d'expression en Chine -

Un enfant hospitalisé dans un état grave

LILLE (AFP) - Un enfant ukrainien sans-papiers de 12 ans a été hospitalisé dans un état grave après avoir chuté accidentellement jeudi à Amiens du 5e étage d'un immeuble en voulant fuir avec son père la police qui s'apprêtait à les interpeller, a-t-on appris de sources concordantes.

L'enfant aurait chuté alors qu'il suivait son père qui voulait s'enfuir en passant sur le balcon d'un voisin, alors que les forces de l'ordre allaient s'introduire dans l'appartement familial, selon une source proche du dossier.

L'accident se serait passé vers 08H30, a-t-on indiqué au commissariat de police d'Amiens qui est intervenu dans le cadre d'une réquisition du procureur de la République de la ville.

Le père de famille, âgé de 33 ans, sa femme, âgée de 29 ans, et leur fils avaient effectué plusieurs demandes d'asile politique et de titres de séjour, toutes rejetées depuis février 2005, peu après leur arrivée en France, selon une source proche du dossier.

L'enfant a été transporté "dans un état grave" à l'hôpital Nord d'Amiens, ont indiqué les pompiers.

Le parquet d'Amiens a indiqué qu'un point presse sur l'affaire serait organisé à 16H30 au tribunal par le procureur Patrick Beau.


- Une chute du 5e étage, en voulant fuir la police -