July 17, 2007

Trop sexy pour prendre le bus

BERLIN (Reuters) - Un conducteur de bus de Lindau, dans le sud de l'Allemagne, a menacé d'expulser une de ses passagères qu'il jugeait trop sexy.

"Soudain il a arrêté le bus", a raconté au quotidien Bild Debora C, une vendeuse de vingt ans. "Il a ouvert la porte et m'a crié dessus 'Votre décolleté me distrait à chaque fois que je regarde dans mon rétroviseur et je ne peux pas me concentrer sur la circulation. Si vous ne vous ne changez pas de place, je vais devoir vous faire descendre'".

La jeune femme a déclaré qu'elle avait changé de place mais s'était sentie humiliée par le chauffeur.

Un porte-parole de la compagnie de bus a pris la défense du chauffeur. "Le conducteur du bus est autorisé à faire cela et il a fait ce qu'il avait à faire", a-t-il déclaré. "Un conducteur ne peut être distrait parce que cela met en danger la sécurité de tous les passagers."

« Votre car est votre espace de sécurité,
Aidons nous à le maintenir ! »


Règlement transport scolaire

Article n°4 – Respect des consignes de sécurité - Pour que dans le car, notre espace de sécurité soit maintenu, je m’engage à :
  • m’asseoir dès que je suis dans le car, mettre ma ceinture de sécurité et rester assis pendant le trajet,
  • ne pas parler au conducteur sans motif valable ou de le distraire,
  • ne pas jouer à l’intérieur du car,
  • placer sous le siège ou dans le porte bagages le cartable ou le sac à dos,
  • ne pas jouer sur les espaces réservés au stationnement des cars,
  • ne pas m’approcher du car pendant qu’il manoeuvre ni même courir entre les cars à l’arrêt et de rester attentif à la circulation.


- « Un conducteur ne peut être distrait » -

Qu'a-t-il à dire ? Jamais un chef de l'Etat n'aura autant parlé


M. Sarkozy ne donnera finalement pas de conférence de presse le 14-Juillet • LEMONDE.FR : Article publié le 05.07.07


« Faut-il se fier à ce que disent les gens, ou à ce qu'ils font ? A ce que l'on entend, ou à ce que l'on voit d'eux ? Tout dépend de la qualité de votre interlocuteur. S'il est homme de pouvoir, ne l'écoutez pas. Observez le. »

Chapitre 3,
Plaidoyer pour le mensonge
Laurent Lèguevaque, chez Denoël

Voir au 12 avril 2007, des notes de lecture.

Après la suppression de l'allocution présidentielle, jamais un chef de l'Etat n'aura autant parlé un 14 juillet
LE MONDE | 16.07.07

La rupture, c'est aussi la disparition de l'allocution présidentielle. Si l'on peut dire. Le président aura rapidement réparé cette absence en conviant la presse pour une conversation dans un salon. "Ce qui fait la force de la parole présidentielle, dit-il, ce n'est pas sa rareté. On parle parce qu'on a quelque chose à dire."

Qu'a-t-il à dire ?
Qu'il est "content" d'avoir présenté Dominique Strauss-Kahn, "son" candidat à la direction du Fonds monétaire international, au premier ministre portugais, José Socrates. Qu'il fera "campagne" pour lui. "On fera peut-être un déplacement au Brésil pour le soutenir." Qu'il nommera le comité de modernisation de la vie politique "le 18 juillet". Qu'il attend, "avec un bon espoir", la réponse de Jack Lang. Qu'il ne comprend pas la réaction de François Hollande : "Même à l'époque de l'Union soviétique, on ne parlait pas comme ça."

Il confie encore que "Fadela (Amara), Rachida (Dati), Rama (Yade) ont moins le droit d'échouer que d'autres". Qu'il habitera à l'Elysée "à partir de septembre". Qu'il partira en vacances en août "à l'étranger avec des amis". Et qu'il faut "continuer à la même vitesse, sur le même rythme". Il ne dit pas qu'il est content d'être là, ses invités à l'extérieur et lui devant un parterre de journalistes qu'il ne se résout qu'à grand-peine à quitter. Mais on le devine.

PARIS (Reuters), extrait - François Hollande a critiqué jeudi la "dérive présidentialiste" de Nicolas Sarkozy, tout en affirmant que le PS était prêt à participer au débat sur l'avenir des institutions.

"Nicolas Sarkozy donne sa philosophie sur les institutions : c'est la philosophie gaulliste et lui, il l'accentue vers ce qu'on pourrait appeler une dérive présidentialiste, plus de pouvoirs pour le président de la République", a déclaré le Premier secrétaire du PS sur France 2.


PARIS (AP), extrait - La "philosophie" de Nicolas Sarkozy sur les institutions, "c'est la philosophie gaulliste", qu'il "accentue vers une dérive présidentialiste", a jugé jeudi soir François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste, peu après le discours du président à Epinal (Vosges).

"Néanmoins, il ouvre le débat (...) sur certains points : statut de l'opposition, renforcement des droits du Parlement", a reconnu le patron du PS, ajoutant qu'il aurait "préféré" que le débat "ait lieu dans une commission où l'ensemble des partis politiques auraient été représentés".


PARIS (AFP), extrait - L'ancien ministre socialiste Jack Lang a annoncé lundi qu'il acceptait de siéger au comité de réflexion sur une réforme des institutions installé par Nicolas Sarkozy, une décision réprouvée avant même son annonce par les dirigeants d'un PS en pleine crise.

PARIS (Reuters) - François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste, dénonce à l'Assemblée "l'omniprésence" de l'Elysée et s'interroge sur la marge de manoeuvre du Premier ministre, François Fillon.

"La pratique de l'exécutif depuis l'entrée en fonction du président de la République marque une inflexion, sans doute une rupture, une mutation qui vient de ce j'appelle l'omniprésidence", a-t-il déclaré en réponse à la déclaration de politique générale du Premier ministre.


LONDRES (AFP) - La Grande-Bretagne a annoncé lundi l'expulsion de quatre diplomates russes en réponse au refus de Moscou d'extrader le principal suspect du meurtre d'Alexandre Litvinenko, une mesure sans précédent depuis 1996 qui marque un net durcissement des relations entre les deux pays.

Actualité | International
Berezovski : "Poutine a commandité l'assassinat de Litvinenko"
Le Figaro, extrait

Le milliardaire russe, réfugié à Londres depuis sept ans, finance depuis son exil des opposants au régime de Vladimir Poutine, son ancien protégé devenu son ennemi mortel. Il a répondu aux questions du "Figaro" dans ses bureaux du très chic quartier de Mayfair.

Il a fallu sept ans pour que la Grande-Bretagne réponde à la question : Qui est M. Poutine ? Mais ça y est : l’étape de la prise de conscience du caractère criminel du régime russe est franchie. Le régime de Poutine a mis ce pays dos au mur. Bien sûr, on n’est pas dans les années 1980, quand des dirigeants occidentaux comme (l’ancien président américain) Ronald Reagan avaient compris le caractère criminel du régime soviétique et sa faiblesse. Mais j’ai bon espoir quand je regarde Nicolas Sarkozy. Quelque chose en lui rappelle Reagan. L’Europe a besoin d’hommes politiques résolus pour aider la Russie à revenir vers la démocratie. Je le répète, elle a des leviers. Il suffirait qu’elle décide de scruter ou geler l’argent des comptes de l’élite russe, dont elle sait qu’ils sont souvent d’origine criminelle. Mais l’Occident fait preuve d’une hypocrisie infinie.


- Il ne comprend pas la réaction de François Hollande -

Les infirmières bulgares fixées sur leur sort mardi


Infirmières bulgares : les familles libyennes reçoivent les indemnisations promises
LEMONDE.FR avec AFP | 16.07.07 | 13h09
Mis à jour le 17.07.07 | 11h45 | Extrait

Les familles des enfants contaminés ont indiqué, mardi, avoir commencé à recevoir des dédommagements financiers en contrepartie de leur renonciation à la peine de mort à l'encontre des infirmières et du médecin. "Les familles ont reçu leurs chèques dans la nuit [de lundi à mardi] et ont commencé ce matin à retirer l'argent dans les banques", a indiqué leur porte-parole, Idriss Lagha, précisant que chaque victime a eu droit à 1 million de dollars, conformément à l'accord intervenu.

Une source proche du dossier indiquait lundi que les membres du Conseil attendaient pour se prononcer un document signé par les familles confirmant qu'elles renonçaient à la peine capitale. Mais celles-ci avaient refusé de signer tant que l'argent ne leur serait pas effectivement versé.

Tripoli décide du sort des infirmières bulgares après leur demande de pardon
LE MONDE | 16.07.07 | Extrait

Un second élément devait peser, lundi, sur la décision du Conseil supérieur : la "demande de pardon et de clémence" déposée samedi par les six condamnés - en présence d'ambassadeurs de pays européens. Elle s'accompagnerait d'un "engagement pour garantir que les six détenus n'engageraient pas de poursuite contre l'Etat libyen", selon l'avocat libyen des infirmières, Me Othman Al-Bizanti.


Libye : les infirmières bulgares attendent toujours
Europe 1, 16 juillet, extrait

Les six condamnés à mort ont toujours clamé leur innocence. Mais ils ont déposé au cours des jours derniers une "demande de pardon et de clémence" et ils se sont engagés à ne pas poursuivre l'Etat libyen pour les huit années passées en prison. Selon le ministre libyen des Affaires étrangères, les compensations financières accordées aux familles des victimes pourraient venir "de certains pays européens et d'associations caritatives".

Actualité | International
Les infirmières bulgares fixées sur leur sort mardi
Le Figaro, le 16 juillet

Le Conseil supérieur des instances judiciaires a repoussé sa décision qui pourrait annuler le verdict de la Cour suprême les condamnant à mort. Une nouvelle séance est prévue mardi.

Nouveau compte à rebours pour les infirmières bulgares et le médecin d’origine palestinienne condamnés à mort en Libye. Ils devront finalement attendre mardi pour être fixés sur leur sort. Le Conseil supérieur des instances judiciaires libyennes qui devait se saisir lundi matin de cette affaire a en effet reporté sa réunion à lundi soir, puis à mardi.

Selon une source proche du dossier, cet organe politique, qui dépend directement du ministre de la Justice, a reporté sa réunion dans l'attente d'un document signé par les familles des enfants contaminés par le virus de sida, dans lequel elles devraient affirmer leur acceptation d'une indemnisation en contrepartie d'un renoncement à la peine capitale à l'encontre des infirmières et du médecin.

Un million de dollars par victime

Dimanche, les familles avaient confirmé avoir accepté un dédommagement d'un million de dollars par victime, soit un total de 400 millions de dollars. Elles ont toutefois refusé signer aucun document tant que l'argent ne leur sera pas effectivement versé. La Fondation Kadhafi, dirigée par Seif al-Islam Kadhafi, le fils du guide libyen, qui conduit les négociations avec les familles était encore à l'œuvre lundi matin pour accélérer la procédure.

L’enjeu est capital pour les infirmières et le médecin dans la mesure où ce conseil a le pouvoir de modifier ou même d'annuler le verdict de la Cour suprême qui a confirmé mercredi la condamnation à mort des six praticiens détenus depuis 1999. Il peut notamment décider de commuer ces sentences en peines de détention à perpétuité. Autrement dit, le sort des infirmières bulgares est plus que jamais entre les mains de Kadhafi.


- Ils se sont engagés à ne pas poursuivre l'Etat libyen -

July 16, 2007

Un cinquième suicide à l'usine PSA de Mulhouse

STRASBOURG (Reuters) - Un ouvrier du site PSA Peugeot Citroën de Mulhouse s'est pendu lundi sur son lieu de travail, ce qui porte à cinq le nombre de suicides parmi les salariés de cette usine depuis le début de l'année, apprend-on auprès des syndicats et de la direction.

L'homme, âgé de 55 ans, a été découvert en début d'après-midi par des collègues de l'atelier de montage, a précisé à Reuters un responsable du service communication de PSA.

Il travaillait sur le site depuis 1978 et n'a laissé aucun élément expliquant son geste, a-t-on ajouté de même source.

"Ça fait cinq suicides depuis le début de l'année, on commence vraiment à être inquiets", a déclaré Vincent Duse, secrétaire du syndicat CGT.

Il travaillait sur le site depuis 1978 et n'a laissé aucun élément expliquant son geste, a-t-on ajouté de même source.

"Ça fait cinq suicides depuis le début de l'année, on commence vraiment à être inquiets", a déclaré Vincent Duse, secrétaire du syndicat CGT.

Un autre ouvrier de cette usine, qui compte 10.500 salariés, avait déjà mis fin à ses jours le 19 avril, en se pendant dans un local technique de l'unité de mécanique. Trois autres ouvriers se sont suicidés hors de l'usine au cours du mois de mai, avait révélé début juin la CGT.

Dans les Ardennes, un ouvrier de l'usine PSA de Charleville-Mézières avait mis fin à ses jours début février en évoquant dans une lettre ses conditions de travail.

PSA a mis en place début juillet un numéro vert d'écoute psychologique pour ses salariés.

A Mulhouse, une cellule de réflexion s'est réunie pour la première fois le 10 juillet afin de définir des instruments de prévention et d'écoute pour les salariés en détresse.


- Un numéro vert, une cellule de réflexion -


Annulation en appel de la déclaration d'utilité publique du tramway de Nice

NICE (AFP) - La cour administrative d'appel de Marseille a annulé la déclaration d'utilité publique (DUP) du tramway de Nice, qui doit entrer en service en octobre, a annoncé lundi la Communauté d'agglomération Nice Côte d'Azur (CANCA).

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- Une bataille judiciaire de plusieurs années -

Gendarmerie de Malakof : aucune poursuite n'est envisagée


MALAKOFF (AFP), extrait - "Ce qui me frappe, c'est qu'il était suivi sur le plan psychiatrique et que l'on ait pu le maintenir dans une enceinte militaire où l'accès aux armes à feu est de manière évidente facilitée", a déclaré lundi l'avocat de la famille de l'adjudant.

"Manifestement, le désarmement du meurtrier, auteur d'une dénonciation calomnieuse (les accusations de propos déplacés, ndlr), était une mesure insuffisante", a accusé, dans un communiqué, l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil), dont l'adjudant était membre.

La gendarmerie a pour sa part estimé que la gestion du contentieux entre les deux militaires avait été "acceptable" car le "problème professionnel avait été réglé par la mutation et le problème personnel semblait également l'être".

La famille de la victime pourrait envisager une saisine de la justice administrative, pour qu'elle détermine si une "faute lourde" a été commise par la hiérarchie, faute de précautions suffisantes.

La gendarmerie a annoncé que son inspection technique avait été saisie d'une enquête.

PARIS (AP) - Aucune poursuite n'est envisagée après la fusillade de vendredi dans la caserne de gendarmerie de Malakoff (Hauts-de-Seine), le suicide du gendarme qui a abattu deux de ses enfants et un adjudant ayant conduit à une extinction de l'action publique, a-t-on précisé lundi de sources judiciaires.

Comme dans l'affaire de la tuerie de Nanterre (mars 2002), après le suicide de Richard Durn, l'enquête de gendarmerie sur les causes de la mort va néanmoins se poursuivre pour apporter une réponse aux familles des victimes, a-t-on expliqué de mêmes sources.

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- L'avocat de la famille du gendarme abattu se dit « stupéfait » -

Malakof : il appartiendrait à la justice d'établir une réalité

PARIS (AFP) - Maître David Dassa-Le Deist, avocat de la famille de l'adjudant abattu par un gendarme dans un casernement de Malakoff dénonce lundi "une cabale" montée contre la victime et "dément formellement" les accusations de harcèlement homosexuel formulées à l'encontre de l'adjudant.

Dans un communiqué, l'avocat "entend démentir formellement les accusations diffusées dans les médias selon lesquelles des actes de +harcèlement homosexuel+ auraient été commis par l'Adjudant à l'endroit de son assassin".

Il assure "qu'une enquête interne diligentée par la Gendarmerie nationale en octobre 2006 a démontré le caractère mensonger et calomnieux de ces accusations" et "prouvé qu'une cabale avait été montée contre l'adjudant" tandis que "son principal accusateur avait reconnu le caractère mensonger de ses propos".


L'avocat a expliqué à l'AFP par téléphone que l'arrivée de l'adjudant dans ses nouvelles fonctions en août 2006 avaient été "mal perçue par certains" car il avait voulu "resserrer les boulons, remettre de l'ordre".

L'avocat observe qu'"aucune plainte pénale ni aucune démarche n'ont jamais été engagées par l'assassin concernant les allégations aujourd'hui proférées".

Il "s'étonne" en outre "que l'officier supérieur en charge de cette enquête auteur d'un rapport mettant formellement hors de cause son client n'ait pas encore à ce jour été entendu par les enquêteurs".

Samedi, une source judiciaire avait indiqué que, selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, le gendarme auteur qui a abattu vendredi son supérieur avant de tuer ses propres enfants et de se suicider, aurait pu être victime d'un "harcèlement sexuel" de la part de l'adjudant.

Selon une source proche de la direction générale de la gendarmerie, ces accusations étaient arrivées à la connaissance de l'Armée, qui avait ordonné une "enquête de l'inspection technique de la gendarmerie nationale" qui n'avait conclu "ni dans un sens ni dans l'autre".

L'association de défense des droits des militaires (Adefdromil) a par ailleurs contesté lundi la version de la hiérarchie de la gendarmerie qui parle d'un "conflit d'ordre individuel" à propos du drame de Malakoff, estimant qu'il appartiendra "éventuellement à la justice" de déterminer si "une faute est imputable à l'institution".


- Une faute imputable à l'institution ? -

Les accidents mortels passés à la loupe

Les accidents mortels passés à la loupe
Le Parisien, Val de Marne, extrait

ECPA : derrière ce nom de code se cache une nouvelle mission pour la sécurité routière, les « enquêtes comprendre pour agir ». « Depuis le début de l'année, trente enquêteurs sont à pied d'oeuvre, précise Nicolas Segard, coordinateur sécurité routière dans le département. Le but de l'ECPA est de mieux connaître les facteurs d'accidents graves dans le Val-de-Marne pour mieux les comprendre et mieux s'armer afin de les éviter. » Car on ne combat bien que ce que l'on connaît bien... L'une des caractéristiques des ECPA doit également être de travailler sur des accidents typiques du département où elles sont initiées. « Ainsi, dans le Val-de-Marne, un accident mortel sur trois concerne un piéton et, dans deux accidents sur trois, il s'agissait d'un senior. C'est pour cette raison que la première enquête concerne l'accident de Choisy-le-Roi, en février dernier, où une femme de 66 ans a perdu la vie, fauchée par un camion en traversant. »


- Une nouvelle mission pour la sécurité routière -

July 15, 2007

Les infirmières bulgares déposent une « demande de pardon et de clémence »

Les infirmières bulgares déposent une "demande de pardon et de clémence"
LEMONDE.FR Avec AFP | 15.07.07 | extrait

Les infirmières bulgares et le médecin palestinien condamnés à mort en Libye ont déposé une "demande de pardon et de clémence" auprès du Conseil supérieur des instances judiciaires qui se réunit lundi, a fait savoir une source officielle anonyme le dimanche 15 juillet à Tripoli. Cette demande a été signée samedi par les six praticiens en présence d'ambassadeurs de pays européens accrédités à Tripoli.

L'avocat libyen des infirmières, Othman Al-Bizanti, a confirmé la signature de ce document, précisant que les six détenus ont signé en outre "un engagement pour garantir qu'ils n'engageraient pas de poursuites" contre Tripoli, après leurs huit années passées dans les prisons libyennes.

Actualité | France
Tuerie de Malakoff, l’avocat de la victime conteste le harcèlement sexuel
Le Figaro, extrait

Me David Dassa-Le Deist évoque «une cabale» et parle de «calomnie».

Ce serait en raison d’un «harcèlement sexuel» de la part de son supérieur qu’un gendarme français aurait décidé d’abattre ce dernier vendredi, puis de tuer ses deux enfants, des jumeaux âgés de onze ans, avant de se donner la mort. «Il est encore trop tôt pour connaître les tenants et les aboutissants de cette affaire, mais plusieurs éléments laissent à penser que la victime aurait pu harceler sexuellement l’auteur des coups de feu, indiquait hier une source judiciaire. Il reste maintenant à savoir pourquoi cet homme a fait feu sur ses enfants après avoir abattu son adjudant.» Il semblerait que la direction de la gendarmerie avait été informée du problème de harcèlement homosexuel. Une enquête avait été diligentée, mais «elle n’avait pas été en mesure de conclure, dans un sens comme dans l’autre, sur la réalité des faits».


- Pourquoi a-t-il abattu ses enfants ? -

July 14, 2007

Garden party du 14 juillet : « Victimes » et « héros » anonymes à l'honneur


AFP - Nicolas Sarkozy a salué samedi, devant des milliers d'invités à la garden-party de l'Elysée, la "beauté" de son épouse Cécilia, dans une note personnelle inhabituelle pour un 14 juillet. "Je voudrais dire à Cécilia et à Judith (fille cadette de Cécilia, ndlr) qu'elles sont très belles toutes les deux", a-t-il lancé à son épouse qui était à son côté, lors d'une allocution sur le perron de l'Elysée, face au jardin où se massaient quelque 5.000 invités.

ALGER (Reuters), 10 juillet - Nicolas Sarkozy réaffirme son refus de la « repentance » dans une interview publiée par deux quotidiens algériens, El Watan et El Khabar, à l'occasion de sa venue en Algérie.

PARIS (Reuters), extrait - "Victimes" et "héros" anonymes étaient les invités d'honneur de la première garden-party du président Nicolas Sarkozy à l'Elysée pour le 14-Juillet.

Ils étaient environ 2.000 dans les jardins du palais présidentiel, certains en chaise roulante, parmi près de 3.000 autres invités plus "classiques": élus, militaires en uniforme des 27 pays de l'Union européenne, vedettes du "show business" comme les chanteurs Doc Gyneco et Faudel, du monde de la télévision et de la culture, élèves de grandes écoles...

Le chef de l'Etat leur a rendu hommage dans une brève allocution sur la terrasse qui domine le parc de l'Elysée: "Il y a parmi vous beaucoup de héros anonymes qui ont fait des choses admirables", a-t-il dit.

Il y avait notamment dans la foule un homme qui a sauvé cinq enfants d'un incendie ou une femme-médecin spécialisée dans l'accompagnement des personnes en fin de vie.

A ceux "pour lesquels la vie n'a pas été indulgente cette année", le président a assuré que la Nation prenait en compte leur souffrance parce qu'ils ont "résisté" et "refusé de subir".


Actualité | International
Les infirmières bulgares valent 400 millions de dollars
Le Figaro, le 14 juillet

Alors que la justice pourrait commuer lundi les condamnations à mort des infirmières bulgares, les familles des enfants atteints du sida devraient toucher des indemnités d'un montant de 400 millions de dollars.

DES SIGNES encourageants sont apparus dans l'affaire des infirmières bulgares avec la conclusion en début de semaine d'un accord financier entre les familles des enfants infectés par le virus du sida et la Fondation Kadhafi, dirigée par Seif al-Islam Kadhafi, le fils du guide libyen. Le protocole de la conciliation devrait être présenté lundi au Conseil supérieur des instances judiciaires. Celui-ci pourrait décider de commuer les condamnations à mort en peines de détention à perpétuité. Organe politique dépendant directement du ministre de la Justice, cette instance a le pouvoir de modifier le verdict de la Cour suprême ou même de l'annuler. (...) Interrogé sur l'effet de la visite de Cécilia Sarkozy, Seif al-Islam a sobrement répondu qu'il n'en avait « aucune idée ». Les responsables européens en charge du dossier auraient été, quant à eux, agacés de ne pas avoir été informés à l'avance de la démarche française. Parlant sous couvert d'anonymat à l'agence Reuters, l'un d'eux soupçonne la France de « vouloir tirer la couverture à elle, à la dernière minute ».

LOS ANGELES (AP) - L'archevêché de Los Angeles va verser entre 600 et 650 millions de dollars (entre 436 et 472 millions d'euros) à environ 500 victimes d'abus sexuels de la part de prêtres, a-t-on appris samedi de sources proches du dossier.

Plus d'infos...


- Nicolas Sarkozy réaffirme son refus de la « repentance » -

Mots clefs : attachement, filiation, adoption, abandon et rejet

M. Pierre Lévy-Soussan fait référence à des articles qu'il a écrit sur des études, notamment une thèse de doctorat en psychiatrie, dont l'auteur n'a pas rencontré les enfants, mais "s'est contenté denvoyer une lettre aux parents" pour leur demander si les enfants se portaient bien.

M. Patrick Bloche engage à ne pas dévaloriser toute étude faite sur ce sujet, et confirme que la mission d'information parlementaire "cherche étude désespérément"

Mme Martine Gross rappelle qu’en 1997, l’APGL avait recensé plus de deux cents études menées à l’étranger, et se propose de faire parvenir à la Mission le livre qui les énumère. Elle souligne que ces études sont "régulièrement critiquées", soit parce qu’elles seraient biaisées, soit parce qu’elles reposeraient sur un échantillon non représentatif, soit parce que leur méthodologie serait insuffisamment rigoureuse. Ces critiques ne sont pas toujours justifiées, les études ont au moins le mérite d’exister. Elle recherche les études qui montreraient le contraire…

M. Patrick Bloche propose d’en rester là et précise que, s’il n’est pas inutile de prendre en compte des études, on ne légifère pas à partir d’études. Légiférer, c’est poser des normes en fonction de principes et de valeurs, donc à partir de critères différents de ceux utilisés par des travaux scientifiques.

Assemblée Nationale
Mission d'information sur la famille
et les droits des enfants

Table ronde sur l'adoption
Mercredi 2 novembre 2005
Audition de l'APGL par la Mission dinformation
COMPTE RENDU


- Résultat : « cherche étude(s) déséspérément » -

Rama Yade « s'étonne » des critiques sur son voyage à Tunis


Sarkozy rallie les présidents Bouteflika et Ben Ali à son projet d'Union méditerranéenne
jeuneafrique.com, le 11 juillet

Fidèle à son style éclair, Nicolas Sarkozy a achevé mercredi une visite de 24 heures en Algérie et Tunisie qui a été l'occasion de promouvoir son projet d'Union méditerranéenne et de tenter d'établir des relations pragmatiques et dépassionnées avec ces pays du Maghreb.

(...) Pour M. Sarkozy, c'est en effet dans cette zone troublée, agitée de tensions et toujours secouée par le terrorisme que se joue pour une bonne part l'avenir de la France et de l'Europe.

(...) Le président français, qui proclame volontiers son pragmatisme, a pris son parti, sans regrets, de l'enterrement discret par les Algériens du traité d'amitié, négocié par Jacques Chirac. "On peut faire l'amitié sans un traité d'amitié", a-t-il martelé tout au long de sa visite en soulignant que "ce qui importe surtout c'est de donner au partenariat un contenu concret".

Cela correspond aussi à son souci de dépassionner les relations entre la France et ses anciennes colonies du Maghreb, à commencer par l'Algérie où les plaies sont encore vives, quarante-cinq ans après l'indépendance.


"Je n'ai pas fait la guerre d'Algérie", a lancé Nicolas Sarkozy, 52 ans, au côté de l'ancien combattant du FLN Abdelaziz Bouteflika, 70 ans, qui n'a pas dit un mot, mais que le président français a trouvé "assez en forme".

"Je suis venu ici ni pour blesser ni pour m'excuser", a déclaré cet adepte du parler vrai, en excluant à nouveau de se "repentir", alors que l'Algérie demande à la France de reconnaître les "crimes" commis durant les 132 ans de la colonisation.

(...) En dépit des réticences algériennes, il a apparemment rallié les présidents Bouteflika et Ben Ali à son projet d'Union méditerranéenne, vaste zone de "paix et de coopération" fondée sur des "projets concrets", à l'image de ce qu'ont accompli les Européens il y a 60 ans.

"Le président Bouteflika est devenu un ardent ambassadeur de cette idée, de même que le président Ben Ali", a-t-il affirmé.


En Tunisie, il a donné une sorte de quitus à M. Ben Ali: il a évoqué avec le président tunisien des cas de violation des droits de l'Homme mais a défendu devant la presse la réussite économique de ce pays, ses progrès vers la démocratie et sa lutte déterminée contre le terrorisme.

Rama Yade "s'étonne" des critiques sur son voyage à Tunis
LE MONDE | 14.07.07

La secrétaire d'Etat française aux affaires étrangères et aux droits de l'homme, Rama Yade, se dit "étonnée" des vives critiques de la Ligue française des droits de l'homme (LDH) formulées contre elle, au lendemain de son voyage en Tunisie, les 10 et 11 juillet, où elle accompagnait Nicolas Sarkozy. (...) Le régime tunisien est tenu par toutes les associations internationales de défense des droits de l'homme pour l'un des plus répressifs du monde arabe.

TUNIS (AFP) - Le président français Nicolas Sarkozy est arrivé mardi en fin d'après-midi à Tunis pour une visite "d'amitié et de travail" au cours de laquelle il s'entretiendra avec son homologue Zine El Abidine Ben Ali, a constaté l'AFP.

Le président Sarkozy a été accueilli par le président Ben Ali, à son arrivée en provenance d'Alger, première étape d'un premier voyage hors d'Europe depuis sa prise de fonction à l'Elysée le 16 mai.

M. Ben Ali a salué son hôte avec une longue et chaleureuse poignée de mains au bas de la passerelle de l'avion présidentiel qui a atterri à 16H30 GMT à l'aéroport de Tunis-Carthage, décoré aux couleurs nationales des deux pays.


En visite à Alger, Nicolas Sarkozy enterre le traité d'amitié entre la France et l'Algérie
Le Monde, le 11 juillet

Il reviendra en Algérie, début décembre, pour une visite d'Etat. Les responsables algériens s'en réjouissent. C'est le principal résultat de la visite éclair de Nicolas Sarkozy, mardi 10 juillet, à Alger. On pouvait craindre que cette diplomatie de l'incantation et du verbe, chère au nouveau président français, ne tourne court. En réalité, elle a marché.

(...) Accompagné de Bernard Kouchner, le ministre des affaires étrangères, et de Rama Yade, la secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, Nicolas Sarkozy a passé l'essentiel de sa visite à Zeralda, l'une des résidences d'Etat, dans la banlieue d'Alger. Sa rencontre avec le président algérien, d'une durée de trois heures, a permis aux deux hommes de faire le tour des problèmes en suspens sans en trancher aucun. Mémoire, visas, contrats énergétiques : tout a été repoussé à la visite d'Etat de décembre.

(...) Bon climat Le traité d'amitié entre les deux pays n'est plus d'actualité. "J'ai indiqué au président Bouteflika que (…) l'amitié se nourrissait davantage de projets, d'actions, que de traités, de discours ou de paroles, et je crois que, sur ce premier point, nos montres ont marqué exactement et strictement la même heure", a expliqué M.Sarkozy.

"Je n'ai pas fait la guerre d'Algérie. Je ne suis pas de cette génération sur laquelle pèse l'Histoire. Je viens ici ni pour blesser ni pour m'excuser [mais] en ami, avec la volonté de participer à une entente entre deux peuples souverains", a-t-il rappelé. Avant d'ajouter : "Nous voulons résolument nous tourner vers l'avenir." Réalistes, les Algériens indiquent, en privé, avoir mis "entre parenthèses" la question du bilan de la colonisation et celui de la guerre d'Algérie.


- Tout a été repoussé -

Une « adolescente » et un homme de 38 ans en garde à vue

BORDEAUX (AFP) - Deux personnes, une adolescente de 17 ans et un homme de 38 ans, étaient en garde à vue samedi à Bordeaux après la disparition pendant plus de 24 heures, d'Alyssa, 3 ans, retrouvée vendredi soir, une disparition semble-t-il motivée par le "désir de maternité" de la jeune fille.

La petite Alyssa, "en bonne santé", a été rendue à ses parents dans la nuit de vendredi à samedi
, quelques heures après avoir été retrouvée, aux alentours de 21H00, dans un quartier périphérique au nord de Bordeaux, la cité des Aubiers, a-t-on indiqué de source policière.

"L'enfant ne présente pas de traumatisme, en l'état", a confirmé samedi Christian Lagarde, vice-procureur au TGI de Bordeaux, soulignant qu'il n'y "avait apparemment pas eu de malveillance".

Sur la chaîne LCI, Sabah El Ouardi, la mère de la petite fille, a affirmé que l'adolescente avait "apparemment" été "gentille" avec Alyssa. "Je lui ai posé des questions. Elle me disait: +Oui, +Tatie+ a été gentille, elle ne m'a pas tapée+, donc, apparemment, ça va", a-t-elle ajouté, sa fillette dans les bras.

Sophie, la jeune fille à qui les parents avaient confié leur fille jeudi après-midi, était quant à elle toujours en garde à vue samedi, en compagnie de l'homme de 38 ans qui a hébergé les deux mineures, a confirmé M. Lagarde.

Les enquêteurs tentaient de reconstituer l'emploi du temps de l'adolescente et de l'enfant entre jeudi après-midi et vendredi soir et, surtout, de déterminer les motivations de Sophie, présentée par les policiers comme "une marginale", "en rupture avec sa famille depuis un mois".

Les premiers éléments de l'enquête soulignent "un désir de maternité" de la jeune fille, a affirmé le vice-procureur. "Apparemment, c'est quelqu'un qui est en manque d'enfant, et qui, peut-être, a pris cette petite fille à laquelle elle s'était attachée", a-t-il ajouté.

Lors de son interpellation, la jeune fille "a déclaré une fausse identité et s'est prétendue être la maman de la petite", a précisé le directeur départemental de la sécurité publique, Albert Doutre.

Devant les policiers, la jeune fille a ensuite affirmé qu'elle avait l'intention de rendre l'enfant à ses parents, selon le vice-procureur.

Pour l'infraction retenue de "soustraction de mineure à la garde des personnes qui exercent la garde parentale", elle encourt une peine de cinq ans d'emprisonnement, a-t-il rappelé. Quant à une éventuelle préméditation, il a souligné: "On peut le supposer mais ce sera à l'enquête de le déterminer."

L'homme, également entendu depuis vendredi soir, "réside dans la cité des Aubiers, vit seul et hébergeait cette jeune fille depuis un temps qui sera déterminé par l'enquête", a indiqué le vice-procureur.

"L'homme se serait a priori contenté d'héberger les deux mineures chez lui", estime-t-on de source proche de l'enquête.


Sophie et Alyssa ont été retrouvées quelques heures seulement après un appel à témoins lancé par le parquet, grâce à un appel téléphonique d'une habitante de la cité des Aubiers, a-t-on expliqué de source policière.

"A la suite de l'appel à témoins, nous avons reçu une dizaine d'appels dans la journée de samedi. Tous ces appels ont été exploités, jusqu'au dernier", selon le vice-procureur.

Le père de la fillette, âgé de 29 ans, avait confié l'enfant à Sophie, en qui il avait confiance. S'inquiétant de ne pas avoir de nouvelles dans la soirée de jeudi, la famille, qui habite dans le quartier Saint-Michel, dans le centre historique de Bordeaux, avait prévenu la police.


- Elle encourt une peine de cinq ans -

Enquête interne sur un possible favoritisme

LOS ANGELES (AFP) - Le bureau du shérif de Los Angeles a ouvert une enquête interne destinée à déterminer si l'héritière Paris Hilton a bénéficié d'un traitement de faveur lors de son séjour en prison le mois dernier, a-t-on appris vendredi de source policière.

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- Le bureau du shérif avait déjà essuyé de fortes critiques -

Bordeaux : la fillette et sa baby-sitter retrouvées

Actualité | France
Bordeaux : la fillette et sa baby-sitter retrouvées
Le Figaro, le 13 juillet

La petite Alyssa, trois ans, avait disparu depuis jeudi en compagnie de la jeune fille qui la gardait. Elle serait en bonne santé

Soulagement à Bordeaux : la petite Alyssa, 3 ans, et sa baby-sitter Sophie, âgée de 17 ans, qui avaient disparu depuis jeudi après-midi ont été retrouvées vendredi dans la soirée.

« A priori dans un bon état de santé », selon des sources policières, Alyssa a été retrouvée dans un appartement de la périphérie de Bordeaux, où vit une connaissance de Sophie. Après leur disparition jeudi, l’enquête s’était rapidement orientée sur la piste de la jeune fille.

Le parquet a lancé vendredi un appel à témoins estimant qu’Alyssa était "en situation de danger", Sophie étant qualifiée "d'enfant connaissant quelques difficultés, notamment scolaires" et "qui n'a pas de domicile fixe pour l'instant".

Une source proche du dossier expliquait que la jeune fille avait "séjourné plusieurs mois dans un foyer d'accueil dans la région de Libourne", d'où elle aurait fait plusieurs fugues.


Sophie, à qui les parents d'Alyssa est "une relation de la famille qui l'avait déjà gardée dans le passé", selon le vice-procureur du tribunal de Bordeaux, Christian Lagarde. S'inquiétant de ne pas avoir de nouvelles dans la soirée de jeudi, la famille avait effectué elle-même des recherches et avait fini par se présenter au commissariat central vendredi à une heure du matin.


- 17 ans et SDF ? -