July 19, 2007

Suicides (en entreprise) : Sarkozy touché


Libé, 13 mars, page 18, « Après que son père l'a récupéré, l'enfant avait tenté de se suicider, puis il avait cessé de s'alimenter normalement -il pesait 28kg à 13 ans-, demandant à être de nouveau confié à ses grands parents. »

France, Le figaro (Avec AFP)
Publié le 19 juillet 2007 à 17h02
Suicides en entreprise : Sarkozy touché

Nicolas Sarkozy, "très touché" par l'annonce d'un nouveau suicide dans une entreprise, souhaite "creuser des pistes" pour faire face à la souffrance au travail, a déclaré aujourd'hui le porte-parole de la présidence David Martinon.

Une salariée d'Areva s'est suicidée lundi après-midi sur son lieu de travail au siège du groupe nucléaire public à Paris, sans qu'un lien puisse être clairement établi avec ses conditions de travail.

Par ailleurs un salarié de l'usine PSA de Mulhouse a mis fin à ses jours lundi, portant à cinq le nombre de suicides de salariés sur ce site depuis le début de l'année.

Surpeuplement, suicides, insalubrité en prison : l'accablant constat du Comité de prévention de la torture
LE MONDE | Mis à jour le 18.07.07 | Extrait

"S'ATTAQUER À LA PEUR"

En clair, les efforts doivent principalement porter sur l'augmentation des capacités d'accueil des prisons (13 200 places nouvelles annoncées d'ici à 2007). Le développement des peines alternatives, préconisé par le ministre de la justice, va dans le bon sens. Mais la France doit aussi se mettre en accord avec les recommandations du Conseil de l'Europe, qu'elle a approuvées. En matière de surpopulation, l'une d'elle insistait, dès 1999, sur la nécessité "de s'attaquer à la peur de la délinquance", qui pousse "les dirigeants politiques à favoriser des politiques pénales plus dures et plus répressives".


NICE (AFP) - Trois petites filles de deux ans et demi accueillies dans une crèche de Cap d'Ail (Alpes-Maritimes) sont parvenues de manière "totalement inexplicable" à sortir seules de l'établissement, lundi, pour s'offrir une courte escapade en ville, a-t-on appris mercredi auprès de la mairie.

Les bambines ont été ramenées à la crèche par la police municipale, alertée par un facteur qui les avait découvertes à proximité de la basse corniche, un axe de circulation important qui relie Cap d'Ail à la commune voisine de Monaco.

(...) Dans l'immédiat, la mairie a décidé d'interdire les entrées dans l'établissement par la porte à code. La possibilité de sortie doit être maintenue pour des normes de sécurité.


- Nicolas Sarkozy souhaite « creuser des pistes » -

L'Europe entend mal.. et ça lui coûte des fortunes

Destination Sante - Jeudi 19 juillet, 11h00, extrait

Plus d'un Européen sur cinq souffre de troubles auditifs. Une proportion qui ne cesse de croître, en raison naturellement du vieillissement de la population. Ainsi l'association Hear-It estime t-elle qu'à l'horizon 2020, il y aura pas moins de 100 millions de malentendants dans l'Union européenne.

Selon les normes de l'OMS (perte auditive de plus de 25 dB), la France à elle seule compte 13 millions de patients. S'appuyant sur des travaux menés par la South Bank University de Londres, Hear-It estime à 224 milliards d'euros le coût induit par la malentendance dans l'UE. Dont 24,5 milliards pour la France !

Voir au 12 septembre 2006, « Des juges sourds, que s'est-il passé depuis ? », extrait :

Une grève de la faim pour se faire entendre de la justice
l'Humanité, 14 décembre 1999.

Madame S. a décidé d’engager une grève de la faim avec d’autres parents concernés également par des dénis de justice. Depuis le 3 décembre 1999, à Clermont-Ferrand, quatre mères, une grand-mère et un père tentent ainsi d’alerter l’opinion publique. Dans sa nouvelle réforme, Élisabeth Guigou n’invite-t-elle pas les personnes qui se sentent lésées par la justice à se faire entendre ?
...


- Des juges malentendants ? -

La pérennité des liens familiaux serait « l’un des objectifs des politiques publiques »


De l'article de Libé : « La pérennité des liens familiaux au-delà des séparations, rappellent les auteurs, est «l’un des objectifs des politiques publiques et l’un des rôles assignés à l’action sociale [...] : veiller au maintien de ces liens, économiques [...], sociaux [...] et affectifs». »

L'article de Libé synthétise un rapport intitulé « Les familles monoparentales en France », disponible sur le site du Centre d'Etudes de l'Emploi (CEE). Du résumé du rapport, certains parents et enfants contesteront vivement : « Les politiques publiques ont cherché à s’adapter à la diversification des formes familiales et ont mis en oeuvre des dispositifs de soutien aux familles monoparentales, non seulement sous forme de prestations et d’allocations mais également sous forme d’aides au recouvrement des pensions familiales ou à la pacification des conflits parentaux. »




D'un dossier de iFRAP, voir la
rubrique Envoyé Spécial,
le reportage « Jamais sans ma mère »


De la conclusion du rapport du CEE : « Enfin, pour les parents séparés ou divorcés, la question est aussi celle de la contribution de l’expartenaire à l’éducation et à la prise en charge du coût des enfants ; cela suppose de favoriser le partage des responsabilités parentales (la coparentalité) et d’assurer le paiement des pensions alimentaires. L’affirmation du principe de coparentalité apparaît d’ailleurs essentielle, pour lutter contre la vulnérabilité des familles monoparentales… et contribuer à redéfinir les contours de cette catégorie, de manière à ce que les parents seuls ne soient pas seuls à élever leurs enfants. Toutefois, les difficultés de la mise en oeuvre de la coparentalité, ainsi que les polémiques sur les avantages et inconvénients des formes de partage des obligations familiales entre parents séparés restent vives, et font bien de ce principe une nouvelle frontière de l’action publique en faveur des familles monoparentales. »

Société
Le boom des monoparents
Le Centre d’études de l’emploi alerte sur la hausse des foyers à parent unique et l’exposition à la précarité.
Libé, jeudi 19 juillet 2007

Une jeune mère hébergée en foyer, un veuf avec des enfants à charge, des divorcées qui ont la garde des petits : les familles monoparentales sont multiples. Et en hausse. Depuis les années 60 leur nombre a doublé et on en comptait 1,5 million en 1999 (derniers chiffres du recensement). Dit autrement, en 1982 un ménage sur dix était composé d’un ou plusieurs enfants de moins de 25 ans et d’un parent seul. Aujourd’hui, c’est le cas de un sur cinq. En tout, 2,4 millions d’enfants vivent avec un seul parent. «Un défi majeur pour les politiques publiques», selon une étude du Centre d’études de l’emploi, publiée le mois dernier (1). Surtout quand on sait qu’entre 1994 et 2004, le nombre de familles monoparentales qui perçoivent le RMI a augmenté de 56,4 %, c’est-à-dire beaucoup plus vite que l’ensemble des ménages (+ 32,9 %).

Les caractéristiques de ces foyers ont changé. Au début des années 1960, les veufs et veuves représentaient 55 % des cas contre 7,5 % en 2004. Dans la même période, la part des divorcé(e)s a augmenté (de 15 à 42 %), celle des célibataires a fait un bond (de 8 à 41 %). Ces changements expliquent la féminisation de ces familles, car dans 85 % des cas de divorce, la garde des enfants est confiée à la mère.

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- « L’un des rôles assignés à l’action sociale [...] : veiller au maintien de ces liens » -

July 18, 2007

Intitulé de stage à la BBC : « Maintenir la confiance »

LONDRES (AP) - La BBC a annoncé mercredi qu'elle suspendait tous les concours téléphoniques et interactifs de ses chaînes de télévision et de radio, ainsi que les concours sur Internet, après qu'une enquête ait mis au jour plusieurs incidents de fraude impliquant des salariés du groupe public britannique.

Selon la BBC, qui a été éclaboussée récemment par des révélations d'un concours truqué et d'images trafiquées, a fait savoir qu'une enquête interne a dévoilé qu'un "petit nombre d'employés de la production (...) se sont faits passer pour des téléspectateurs ou des auditeurs" à la télévision et la radio.

Le directeur général de la BBC, Mark Thompson, a déclaré que six nouveaux cas avaient été découverts, en plus d'un incident qui avait eu lieu dans l'émission pour enfants "Blue Peter".




Extrait du site de BBC News
« The competition had been raising money
for children's charity Unicef »


Selon lui, les concours sur base d'appels téléphoniques à la radio et à la télévision vont être suspendus à partir de minuit mercredi, et les concours sur Internet le seront le plus vite possible.

Selon les conclusions de l'enquête, depuis 2005, trois émissions à but caritatifs ont notamment fait passer leurs employés pour des téléspectateurs ayant gagné un concours, ou lu de faux noms à l'antenne. Une émission de radio a par ailleurs organisé un concours par téléphone qui n'était doté d'aucun prix réel, et où tous les participants étaient en fait des employés ou leurs proches.

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- Une enquête a dévoilé des fraudes -

Enquête sur des viols subis par deux fillettes


PARIS (Reuters) - Les députés ont adopté mercredi par 144 voix contre 93 le projet de loi qui instaure des peines minimales pour les récidivistes et exclut l'excuse de minorité pour les mineurs multirécidivistes de plus de 16 ans.


Récidive et répétition
13/07/2007 - Le blog de Dominique Barella, magistrat

Le mot «récidive» devient un gimmick de la communication du Président de la République : nous en serons bientôt à la septième réforme du code de procédure pénale en cinq ans ayant pour but de lutter contre le fléau de la récidive !


Enquête
Il faut sauver le soldat Dati

LE MONDE | 18.07.07

A l'Elysée, au gouvernement, dans la majorité, la ligne de riposte est arrêtée. Il n'y a pas de problème au ministère de la justice. Simplement une "campagne" visant à "salir" Rachida Dati.


Société
« Rachida Dati paie d’être une ministre atypique »
Libé, le 16 juillet

Dominique Sopo, président de SOS Racisme, militant socialiste, juge que Rachida Dati est aujourd’hui la cible d’une «élite blanche» qui n’accepterait pas sa nomination au ministère de la Justice. Il explique pourquoi à Libération.

DAX (AP) - Sept personnes interpellées mardi dans le cadre d'une enquête sur des viols subies par deux fillettes demeuraient mercredi en garde à vue, a annoncé dans l'après-midi le vice-procureur de Dax (Landes), Marc Mariée, lors d'un point de presse.

Les deux victimes sont deux demi-soeurs âgées de trois et sept ans au moment des faits, en 2005. Elles se sont d'abord confiées à la famille d'accueil chez qui elles avaient été placées par l'aide sociale à l'enfance il y a environ un an. Avant d'être placées, les fillettes vivaient seules avec leur mère.

Selon Marc Mariée, "des examens médicaux ont démontré la réalité des viols".
Une information judiciaire pour viols sur mineures de moins de 15 ans a été ouverte il y a environ un mois et l'enquête confiée à la compagnie de gendarmerie de Dax.

Les enfants ont été entendus par des gendarmes de la brigade de prévention de la délinquance juvénile spécialisés dans l'audition des mineurs. Les dépositions ont été enregistrées par vidéo pour éviter d'en renouveler le traumatisme.

Mardi, 13 interpellations ont eu lieu dans les Landes ainsi qu'à Marseille (Bouches-du-Rhône). Six personnes ont été relâchées mercredi. "Ces interpellations ont eu lieu simultanément, mais ne préjugent en rien de la culpabilité des personnes", a précisé le lieutenant-colonel Ronan le Floch, commandant de la section de recherche de gendarmerie de Pau.

Le vice-procureur Marc Mariée a souligné qu"'il ne s'agit absolument pas d'un réseau pédophile, mais de faits commis au sein de la famille ou par des proches". La mère des fillettes fait partie des personnes encore en garde à vue.

Des perquisitions ont été effectuées et du matériel informatique saisi.

Aucune mise en examen n'avait encore été prononcée mercredi en fin d'après-midi. Un nouveau point sur l'enquête était prévu jeudi après-midi.

DAX (AP), Landes (Reuters) - La garde à vue de six hommes et une femme soupçonnés d'être impliqués dans une affaire de viols sur deux fillettes dans les Landes a été prolongée, a fait savoir mercredi le vice-procureur de Dax, Marc Mariée.

Treize personnes avaient été interpellées la veille dans cette même affaire.

Les sept suspects sont entendus dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour "viols de mineur de 15 ans". Ils sont tous des membres de la famille ou des proches des victimes, deux demi-soeurs âgées de quatre et neuf ans.

Les faits, qui remonteraient à 2005, ont été rapportés par les deux fillettes à la famille d'accueil où elles ont été placées pour carences éducatives.

Les services de l'Aide sociale à l'enfance (ASE) ont ensuite alerté les services judiciaires.

Selon le vice-procureur, "la thèse du réseau pédophile doit être écartée" mais toute "affabulation" des victimes également.

"Les expertises médicales confirment les infractions évoquées", a précisé le magistrat lors d'une conférence de presse.


Tout ou partie des personnes gardées à vue pourraient être présentées jeudi au parquet pour d'éventuelles mises en examen.


- Avant d'être placées, les fillettes vivaient seules avec leur mère -

Disparition de Thomas : le pessimisme s'installe


Voir au 25 mai 2007, journée internationale des enfants disparus : « quand un enfant disparait, c'est tout un monde qui s'écroule ».

BARATIER (AFP) - Les sauveteurs et les proches du petit Thomas se montraient pessimistes mercredi sur la possibilité de retrouver, vivant, le garçonnet de 7 ans, disparu depuis samedi d'un campement de gens du voyage à Baratier (Hautes-Alpes), près du lac de Serre-Ponçon.

"Si Thomas est réellement seul dans la nature, la période semble un petit peu critique. Chaque jour qui passe ne rassure personne", a déclaré à l'AFP le capitaine Christophe Girard, de la gendarmerie de Gap.

"Tant que l'on n'a rien trouvé, on conserve l'espoir qu'il soit vivant, ici ou ailleurs", a-t-il souligné en réaffirmant "qu'aucune piste" n'est privilégiée entre une noyade accidentelle, une disparition de l'enfant en pleine nature ou un enlèvement.

Dans l'esprit des pompiers, partis ratisser mercredi un secteur de 3 kilomètres autour du campement avec une soixantaine de gendarmes et de militaires, le même pessimisme s'est installé.

"Les jours passant, les chances de survie s'amenuisent. Certes, si l'enfant est dans les environs, il est menacé de déshydratation et de sous-alimentation. Mais la principale préoccupation, c'est le traitement de l'enfant contre son épilepsie", a indiqué l'adjudant-chef Pierre Mattio, du centre de secours des sapeurs-pompiers d'Embrun (Hautes-Alpes).

"Avec l'épuisement, les risques de tétanie sont de plus en plus importants", a-t-il expliqué en ajoutant néanmoins qu'il "y a toujours une chance" de retrouver Thomas vivant. "Il y a l'ombre des arbres, la fraîcheur de la végétation et surtout de l'eau partout pour boire", a-t-il souligné avant de partir avec ses hommes pour de nouvelles recherches sous une chaleur accablante.

Assis sur une chaise, l'air sombre et triste, le grand-père de Thomas, Georgi Viccini, est plus tranchant dans ses affirmations. "Dans mon coeur, je pense qu'aujourd'hui Thomas s'est envolé. Il est là-haut", dit-il.


"Ce gosse est malade. Il est normalement suivi (ndlr: médicalement) matin et soir, et un jour sans ses médicaments, c'est déjà trop long", ajoute M. Viccini, 73 ans.

Il assure dire aux siens, en tant que patriarche, qu'il y a "toujours de l'espoir, jusqu'à la dernière seconde, de retrouver Thomas" (vivant). "On souffre intérieurement mais on ne le montre pas. Quand on naît Tzigane, on naît digne. Je dis à son père d'attendre", poursuit M. Viccini.

"L'accident, chez nous les Tziganes, est accepté, pas la disparition. Je suis aujourd'hui un homme meurtri, un mort-vivant", ajoute-t-il.


Thomas a échappé à la surveillance de ses parents alors que la famille s'apprêtait à se rendre à la piscine, samedi en début d'après-midi. Le campement se situe au bord de la Durance, rivière se jetant 200 m plus loin dans l'immense lac de Serre-Ponçon.


- La disparition n'est pas acceptée -

Tour de France : la télévision allemande suspend la diffusion


Tour de France : après un cas de dopage, la télévision allemande suspend la diffusion
LEMONDE.FR avec AFP | 18.07.07

La Fédération allemande de cyclisme (BRD) a annoncé, mercredi 18 juillet, que Patrik Sinkewitz, cycliste de la formation T-Mobile a fait l'objet d'un contrôle antidopage positif le 8 juin dernier. Dans la foulée, les chaînes de la télévision publique allemande ARD et ZDF ont décidé d'arrêter, jusqu'à nouvel ordre, la retransmission du Tour de France. Les deux chaînes qui diffusent alternativement les étapes du Tour de France ont indiqué dans un communiqué commun que cette mesure serait observée jusqu'à "éclaircissement du cas Patrik Sinkewitz".

(...) La formation cycliste allemande a annoncé la suspension avec effet immédiat de Patrik Sinkewitz. Une décision sans incidence sur le Tour : le coureur a abandonné dimanche à l'arrivée de la 8e étape à Tignes (Savoie) après avoir percuté un spectateur alors qu'il regagnait l'hôtel de son équipe.

(...) Depuis l'affaire Ullrich, T-Mobile s'est profondément restructurée, s'est séparée des coureurs de la "vieille école", a changé sa direction sportive et mis en place un programme de contrôle antidopage très strict.

Cyclisme
Pris par la patrouille
Le Figaro

Patrik Sinkewitz a été contrôlé positif à la testostérone le 8 juin dernier lors d’un test inopiné à l’entraînement. L'Allemand, qui a abandonné le Tour dimanche après une chute, risque deux ans de suspension.

(...) L’Allemagne ne s’en sort pas
Ce contrôle positif est une très mauvaise nouvelle pour le cyclisme allemand, frappé de plein fouet par le fléau du dopage ces derniers mois.

Actualité | International
La plus grande centrale nucléaire du Japon fermée jusqu’à nouvel ordre
Le Figaro, 18 juillet

Les autorités craignent que la faille active qui a provoqué le séisme meurtrier de lundi ne passe directement sous la centrale de Kashiwazaki.

(...) Si les réacteurs nucléaires n'ont subi aucun problème sérieux, le PDG de la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) qui exploite le complexe nucléaire, a reconnu qu'ils "avaient subi sans aucun doute un choc supérieur aux limites de résistance prévues à l'époque de la construction".

(...) "C'est une possibilité qui ne peut être écartée" étant donné la nature des répliques du tremblement de terre, a estimé un sismologue, tout en mettant en garde contre toute conclusion prématurée.


- Une possibilité qui ne peut être écartée -

Création d'une mission sur les décisions de justice

PARIS (Reuters) - La commission des Lois de l'Assemblée nationale a décidé de créer une mission d'information sur l'exécution des décisions de justice pénale.

Cette mission, qui sera mise en place le 25 juillet, sera composée de quinze députés: 8 UMP, 5 SRC (socialiste, radical, citoyen), 1 NC (Nouveau centre) et 1 GDR (gauche démocrate et républicaine).

Le président de la commission des Lois, Jean-Luc Warsmann, (UMP) précise par ailleurs, dans un entretien au quotidien Les Echos, qu'il demandera à ce qu'un membre de la mission se spécialise dans les questions relatives aux mineurs.

Il annonce également que la mission présentera un pré-rapport avant la fin de l'année. "Le but est de pouvoir proposer des améliorations, qu'elles soient législatives, réglementaires ou tout simplement matérielles. Il s'agit d'arriver à une situation normale en fin de législature", précise-t-il.

L'Assemblée examine actuellement le projet de loi, déjà voté par le Sénat, instaurant des peines minimales pour les récidivistes.

PARIS (AP) - Près de 62.000 personnes étaient incarcérées en France au 1er juillet, soit une hausse de 3,9% par rapport au même mois de l'année précédente, selon les statistiques de l'Administration pénitentiaire publiées sur le site Internet du ministère de la Justice.

(...) Selon l'Administration pénitentiaire, le nombre de "places opérationnelles" dans les prisons est de 50.557. De source judiciaire, on précise que 4.979 détenus bénéficient d'un aménagement de peine.

Le précédent pic avait été atteint au 1er juillet 2004, avec 63.652 détenus. Mais le mois suivant, la population carcérale avait fortement chuté pour atteindre les 58.308 sous l'effet de la grâce collective présidentielle du 14-Juillet accordée par Jacques Chirac.


- Encore et toujours le pénal -

Une pratique aux frontières de la légalité


DALLAS (AP), february 21, 2007 - Whole Foods Market Inc. said Wednesday it will pay $565 million for Wild Oats Markets Inc., a chain of natural and organic food markets in the United States and Canada.

Whole Foods said it would pay $18.50 in cash per share for Wild Oats and assume the rival's debt, reported to be $106 million as of Sept. 30.

Austin-based Whole Foods said it would borrow to finance the deal.

Wild Oats has annual sales of about $1.2 billion and operates 110 stores in 24 states and British Columbia, Canada.

NEW YORK (AFP) - La chaîne américaine de produits "bio" Whole Foods a annoncé mardi qu'elle ouvrait une enquête interne sur les messages internet envoyés sous un pseudonyme pendant huit ans par son PDG John Mackey, qui a présenté officiellement des excuses.

Le groupe a aussi confirmé dans un communiqué que le régulateur boursier américain, la SEC, avait ouvert une enquête sur ces messages où M. Mackey, sous le pseudonyme "Rahodeb", chantait les louanges de son groupe et de lui-même, et éreintait la chaîne concurrente Wild Oats, que Whole Foods a finalement rachetée.

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- La SEC a ouvert une enquête sur ces messages -

July 17, 2007

Douze mois de prison ferme ont été requis


Comment est-il possible que des parents jouissent d'aménagements voir de sursis, d'ultimes et de nombreuses chances, tandis que d'autres qui n'ont même pas enfreint la loi se retrouvent du jour au lendemain durablement privés de leurs enfants ? Et inversement, bien sûr, des enfants sont ainsi arbitrairement privés de leurs parents.

Le cas Djamal Dati, dépèche à la suite, n'est pas du tout exceptionnel ; voir par exemple le cas Chérif Bouchelaleg pour s'en convaincre.

NANCY (Reuters), extraits - Douze mois de prison ferme ont été requis devant la cour d'appel de Nancy (Meurthe-et-Moselle) à l'encontre de Jamal Dati, poursuivi pour consommation et revente d'héroïne à Verdun en 2005.

(...) L'avocat général a demandé des peines de six mois à deux ans de prison dont un avec sursis à l'encontre de trois co-prévenus qui avaient écopé de trois mois ferme en première instance.

La Cour rendra son arrêt le 21 août.

En requérant un an contre Jamal Dati, qui travaille comme tuyauteur et qui est père d'un garçon de deux mois, l'avocat général a laissé entrevoir la possibilité d'un aménagement de peine qui lui permettrait de préserver sa vie sociale.

D'une correspondance privée reçue ce jour :

Le rapt parental d’enfant est un délit sanctionné par le code pénal, ainsi qu’une maltraitance psychologique reconnue de tous. Il s’inscrit, au même titre que les violences conjugales, dans le champ des violences intrafamiliales qui sont en augmentation constante depuis des années. Mais si les violences conjugales ont trouvé une réponse judiciaire claire et ferme, la confiscation et la maltraitance psychologique de ceux qui nous sont les plus chers – nos enfants – bénéficie encore à ce jour d’une quasi-impunité institutionnelle...


PARIS (AFP), extrait - Rachida Dati, qui connaît ses premières difficultés depuis son arrivée au ministère de la Justice, a subi mardi son baptême du feu à l'Assemblée nationale où elle a présenté son projet de loi de lutte contre la récidive, engagement de campagne de Nicolas Sarkozy.

Dans son premier discours à la tribune du Palais-Bourbon, Mme Dati, très émue, a défendu une "justice sereine, claire, compréhensible" dont son projet "est la marque" et qu'elle conçoit comme un "signal de fermeté" adressé aux délinquants.

Peu avant son intervention, la garde des Sceaux, malmenée par le départ récent de quatre membres de son cabinet puis par les révélations sur les déboires judiciaires de ses frères, a reçu un soutien très appuyé de Patrick Devedjian (UMP) et du président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer.

Le secrétaire général de l'UMP a salué la "force de caractère" de la ministre face au "poids que les médias font désormais peser sur elle", et condamné "les attaques et amalgames dont elle est aujourd'hui la victime".


- L'avocat général a laissé entrevoir la possibilité d'un aménagement -

François Fillon s'est dit « choqué »

PARIS (AP) - Le Premier ministre François Fillon s'est dit mardi "choqué par la campagne qui a été engagée" selon lui contre la ministre de la Justice Rachida Dati.

Mme Dati fait l'objet de critiques après la démission de son directeur de cabinet, et alors qu'un de ses frères, Jamal Dati, comparaissait mardi devant la chambre correctionnelle de la cour d'appel de Nancy avec trois autres prévenus pour un trafic de cannabis et d'héroïne. L'arrêt doit être rendu le 21 août.

"Je suis très fier avec Nicolas Sarkozy de l'avoir nommée au ministère de la Justice", a réaffirmé M. Fillon sur France-3. "En deux mois, elle s'est révélée".

"Je veux qu'on traite Rachida Dati comme n'importe quel autre ministre de la République, et je suis sûr que si elle est traitée comme n'importe quel autre ministre de la République, elle va montrer avec beaucoup d'efficacité son talent".

"C'est la première fois que je vois que la composition d'un cabinet ministériel devient une affaire d'Etat", a-t-il ajouté. "Elle est exigeante avec ses collaborateurs. Cela tombe bien, parce que le président de la République (Nicolas Sarkozy) et moi, on est exigeant avec nos ministres".

François Fillon a également apporté son soutien au projet de loi sur la récidive présenté mardi devant les députés par la ministre de la Justice. "Moi ce qui m'obsède, c'est la sécurité des Français. S'il faut construire des prisons, on construira des prisons", a-t-il prévenu. "La sanction, c'est quand même la base de la sagesse et de l'interdiction de la récidive".

NANCY (AP) - Douze mois d'emprisonnement ferme ont été requis mardi contre Jamal Dati, l'un des frères de la ministre de la Justice, qui comparaissait devant la chambre correctionnelle de la cour d'appel de Nancy avec trois autres prévenus pour un trafic de cannabis et d'héroïne. L'arrêt doit être rendu le 21 août.

L'avocat général Jacques Nicolle a demandé que le juge d'application des peines prenne des dispositions afin que Jamal Dati, 34 ans, conserve son travail. En première instance, il avait été condamné le 28 février dernier à six mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve par le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse).

M. Nicolle a évoqué mardi son casier judiciaire, qui fait apparaître deux condamnations en 1995 et 2001 pour des affaires de stupéfiants. Pour les trois autres prévenus, l'avocat général a aussi demandé des peines de prison ferme supérieures à celles prononcées initialement. Les prévenus, qui comparaissaient libres pour des faits remontant à 2005, le restent dans l'attente de l'arrêt.

L'avocat général a demandé contre Rémy Georges, 23 ans, absent, et John Goncalvez, 21 ans, six mois de prison ferme, c'est-à-dire le double de ce que le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse) leur avait infligé le 28 février dernier. A l'encontre du quatrième prévenu, Aurélien Verdisson, 24 ans, deux ans de prison dont un avec sursis ont été requis, contre un an ferme à Verdun. Là encore, un aménagement de la peine a été souhaité "pour garder travail et vie sociale".

Jacques Nicolle a fait remarquer que les prévenus n'avaient pas fait appel "parce qu'ils s'estiment coupables". Ce que ces derniers ont reconnu. Le parquet a fait appel parce qu'il pense que les peines de première sont largement insuffisantes.

"Certes ce ne sont pas des parrains de la mafia, mais ce système est dangereux parce qu'il essaime et prospère; des personnes ne vivent plus que de cela, ils achètent, consomment et font revendre. De l'herbe de plus en plus forte en THC, mais aussi de l'héroïne", a fait valoir l'avocat général.

Et de cibler Jamal Dati "qui pendant un an allait à Maastricht tous les 10 jours se procurer 15 à 20g d'héroïne pour lui et sa concubine et pour la revendre. Il avait un nombre impressionnant de téléphones portables et utilisait un discours codé et, en plus, Dati a voulu assainir le trafic en dénonçant Goncalvès aux services des douanes!".


Tous les intéressés ont abandonné la drogue et ont trouvé, sauf un, du travail. Ils disent "avoir compris la leçon". Jamal Dati a regretté que "cela salisse sa soeur" Rachida Dati, garde des Sceaux. L'avocat de Jamal Dati, Me Gérard Michel, a souligné que son client "a sombré dans l'héroïne à la mort de sa mère".

Aujourd'hui, "il veut prouver aujourd'hui à son père, très exigeant, qu'il va réussir avec ses mains. Il a tourné la page, il a un emploi. Son petit garçon de 2 mois est malade. Son père est retourné au Maroc pour ne rien entendre de ce procès", a ajouté Me Michel. AP


Rachida Dati
« Dans toutes les familles, il y a des moments difficiles »
La garde des Sceaux est revenue ce matin sur la comparution de son frère Jamal pour trafic de stupéfiants, prévue cet après-midi à la cour d'appel de Nancy.
leparisien.fr | 17.07.07 à 12h15

En pleine tourmente, Rachida Dati tient le cap
Alors que son frère Jamal se défendait à la barre d'un tribunal pour trafic de stupéfiants - le parquet a requis douze mois d'emprisonnement ferme -, Rachida Dati a présenté cet après-midi son projet de loi contre la récidive.
17-07-2007 | leparisien.fr


- Une campagne qui a été engagée « selon lui » contre la ministre -

Les peines des infirmières bulgares commuées en réclusion à vie


La peine de mort des infirmières bulgares commuée en prison à vie
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 17.07.07

La plus haute instance judiciaire libyenne a décidé mardi de casser la condamnation à mort des cinq infirmières et du médecin bulgares. Les détenus pourraient être extradés vers leur pays d'origine.

TRIPOLI (Reuters) - La condamnation à mort des cinq infirmières bulgares et du médecin palestinien naturalisé bulgare détenus en Libye a été commuée en peine de prison à perpétuité, annonce le Haut Conseil judiciaire libyen.

"Le Haut Conseil judiciaire a décidé de commuer les condamnations à mort contre les cinq infirmières bulgares et le médecin palestinien en peine de prison à perpétuité", annonce la plus haute instance judiciaire de Libye dans un bref communiqué.

Les six ont été arrêtés en février 1999 dans le cadre d'une enquête sur la propagation du virus du sida dans un hôpital pour enfants de Benghazi.

Ils ont été condamnés à mort en décembre, peine confirmée en appel par la Cour suprême et commuée par le Haut Conseil.

Le Haut Conseil justifie son arrêt par un "accord de conciliation conclu avec les familles des victimes".

Un porte-parole des familles avait annoncé un peu plus tôt que les 460 familles des enfants infectés par le VIH à l'hôpital de Benghazi avaient reçu chacune un million de dollars.


"Toutes les familles ont reçu les indemnités. Elles signent maintenant des documents affirmant qu'elles les ont reçues et qu'elles acceptent que le Haut conseil judiciaire prenne la décision qu'il jugera appropriée quant aux six personnes", avait déclaré à Reuters Idriss Lagha.

Ce règlement financier avait conduit nombre d'observateurs en Libye et à l'étranger à penser que les infirmières et le médecin pourraient être libérés.

Actualité | International
Les infirmières bulgares échappent à la peine de mort
Le Figaro

La plus haute instance judiciaire libyenne a décidé de commuer leur condamnation à mort en peine de prison à vie.

C’est un grand «ouf» de soulagement.
La plus haute instance judiciaire libyenne a finalement décidé mardi, en dernière instance, de commuer en peine de prison à perpétuité la peine de mort infligée à cinq infirmières bulgares et à un médecin palestinien, accusés d'avoir inoculé le virus du sida à 438 enfants de Benghazi.

Quelques heures auparavant, les familles des enfants libyens contaminés avaient annoncé qu'elles renonçaient à la peine de mort prononcée à leur encontre. Huit ans après le début de l'affaire, elles avaient fait cette annonce après avoir "reçu" des "dédommagements" d'un million de dollars par victime, soit un total de 400 millions de dollars.

Document signé

Alors qu’il devait rendre sa décision lundi, le Conseil supérieur des instances judiciaires, la seule autorité en mesure de commuer la peine, avait repoussé à mardi sa décision d’annuler le verdict de la Cour suprême les condamnant à mort.

Selon une source proche du dossier, cet organe politique, qui dépend directement du ministre de la Justice, avait reporté sa réunion dans l'attente d'un document signé par les familles des enfants contaminés par le virus de sida, dans lequel elles devaient affirmer l’acceptation d’une indemnisation en contrepartie d'un renoncement à la peine capitale à l'encontre des infirmières et du médecin. C’est désormais chose faite.


- Y aura-t-il amménagements de peines ? -

Il court avec son fils devant le taureau

MADRID (AFP) - La justice espagnole a retiré à un père espagnol la garde de son fils de 10 ans après s'être rendu compte qu'il l'avait fait participer aux dangereuses et célèbres courses de taureaux de Pampelune.

Selon les médias espagnols, le père a été confondu par une photo publiée dans la presse où on le voit souriant tenir son fils par le bras alors que ce dernier, l'air pas très rassuré, court juste devant les taureaux. La scène s'est déroulée jeudi lors du quatrième lâcher de taureaux (encierro) des fêtes de la San Fermin de Pampelune (Navarre, nord).

Lors de ces fêtes très populaires en Espagne et dans le monde, des hommes et quelques femmes courent le long d'un parcours de plus de 800 mètres dans les rues de la ville, accompagnant les taureaux qui se rendent de l'enclos à l'arène, où ils affrontent ensuite le matador. Il y a très régulièrement des blessés au cours de ces encierros.

C'est la mère de l'enfant, séparé du père, qui a vu la photo et a saisi la justice. Le juge a décidé de retirer immédiatement la garde de l'enfant. De plus, la mairie de Pampelune, qui a rappelé que les courses sont réservées aux majeurs de 18 ans, a infligé au père une amende de 150 euros. Cela ne l'a pas empêché de déclarer à quelques médias qu'il était prêt à refaire courir son fils devant les animaux, qui pèsent généralement de 500 à 700 kilos chacun.

Les encierros ont fait 14 morts depuis 1911. Le dernier fut un Américain, en 1995.


- Un juge le prive de garde -

le séisme de Niigata, Japon


Japon • Tremblement de terre
Les personnes âgées sont les plus vulnérables
Le dernier bilan des décès est parlant: les neufs personnes ayant trouvé la mort lors du tremblement de terre qui a ébranlé la région de Niigata (centre du Japon) sont toutes septuagénaires ou octogénaires.
leparisien.fr | 17.07.07 à 15h45

KASHIWAZAKI (AFP) - Les sauveteurs s'efforçaient mardi de venir en aide aux milliers de sans-abri, dont beaucoup de personnes âgées, tandis le débat sur la sécurité nucléaire prenait de l'ampleur, au lendemain du séisme qui a fait 9 morts et un millier de blessés dans le centre du Japon.

Destination Santé - Suite à plusieurs cas de surdosage de Primperan (ou métoclopramide) chez des tout-petits, l'Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) rappelle l'importance d'utiliser une forme pharmaceutique adaptée à l'enfant et au nourrisson.

LVIV (AFP) - Un nuage toxique échappé d'un train accidenté dans l'ouest de l'Ukraine menaçait mardi des milliers d'habitants, invités à porter des masques à gaz et à éviter de sortir de chez eux.

Six wagons-citerne d'un train accidenté lundi ont pris feu, laissant échapper "une quantité importante de fumée et de gaz toxiques" à base de phosphore, a annoncé un responsable de l'administration régionale, Taras Batenko, lors d'une conférence de presse à Lviv.

KASHIWAZAKI (AFP) - Le violent séisme qui a fait 9 morts et plus de 1.000 blessés dans le centre du Japon, a ravivé mardi les craintes sur la sécurité nucléaire, après la découverte de nouveaux incidents dans une centrale, alors que les sauveteurs tentaient de venir en aide aux milliers de sans-abri.

Plus d'infos...


- Le séisme ravive les craintes sur le nucléaire -

La crise s'aggrave entre Londres et Moscou


A écouter sur le Monde.fr :

Le soutien de Londres à des réfugiés politiques russes irrite Moscou, qui veut "rendre la monnaie de sa pièce" à l'Angleterre, explique Jean-Robert Raviot, maître de conférences à l'université Paris-X et Sciences Po. Par ailleurs, "la Grande-Bretagne a toujours été la rivale de la Russie en matière de services de renseignements".


Londres-Moscou: oeil pour oeil...
La Russie s'apprête à réagir à l'expulsion de Grande-Bretagne de quatre diplomates russes.
leparisien.fr | 17.07.07 à 15h00

MOSCOU (AFP) - Moscou prépare une réponse "adéquate" à la décision de Londres d'expulser quatre diplomates russes dans l'affaire Litvinenko, a déclaré mardi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Mikhaïl Kamynine.

"Nous analysons attentivement la position de Londres (...) en vue de mettre au point et d'adopter une réponse adéquate", a-t-il déclaré dans un communiqué, sans plus de précisions sur la nature de la riposte.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexandre Grouchko doit faire une déclaration mardi à 17H30 (13H30 GMT) sur les relations bilatérales après la décision de Londres d'expulser les diplomates russes, a indiqué le service de presse du ministère.

Actualité | International
La crise s'aggrave entre Londres et Moscou
Le Figaro, le 17 juillet

La Grande-Bretagne a expulsé hier quatre diplomates russes, après le refus de la Russie d'extrader le principal suspect de l'assassinat au polonium radioactif de l'opposant Alexander Litvinenko.

(...) Londres n'est pas seulement le premier investisseur étranger direct en Russie, avec plus de 8 milliards d'euros investis en 2006. La capitale londonienne se trouve être aussi le point de ralliement en Occident des opposants les plus déterminés à Vladimir Poutine, dont Boris Berezovski. Alexander Litvinenko, ex-membre du KGB reconverti dans les affaires, était l'un d'entre eux.

Affaire Litvinenko : "Une guerre diplomatique entre Moscou et Londres"
LEMONDE.FR | 17.07.07
L'expulsion des quatre diplomates russes et l'imminence d'une réaction similaire du côté du Kremlin a fait la "une" des journaux des deux pays, mardi.

PEKIN (AP), extrait - Le contremaître d'une briqueterie du nord de la Chine, où les travailleurs étaient battus et contraints de travailler 18 heures par jour, a été condamné mardi à la réclusion à perpétuité, alors qu'un autre homme a été condamné à mort pour avoir battu à mort un travailleur, selon un responsable de la justice chinoise.

Le scandale de ces travailleurs-esclaves avait éclaté le mois dernier après que des centaines de parents s'étaient plaints que leurs enfants avaient été forcés de travailler dans des briqueteries dans les provinces du Henan, de Shanxi et de Shaanxi.


DUBAI (AFP), extrait - Les avocats du souverain de Dubaï espèrent convaincre lundi un tribunal de Floride de rejeter une plainte à son encontre dans l'affaire des enfants-jockeys, afin d'éviter un procès très dommageable pour l'image de cet émirat du Golfe.

Preuve de l'importance du dossier, cheikh Mohammad ben Rached Al-Maktoum, le souverain de cette ville-émirat, a demandé au président américain George W. Bush de l'aider pour que les plaignants soient déboutés.


- Point de ralliement en Occident des opposants à Poutine -