July 13, 2007

Children of Holocaust Survivors to Sue Germany

Certains professionnels - des révisionistes - du secteur de la protection de l'enfance française se sont directement référé à cette période de l'histoire.

En 1969, John Bowlby développe la théorie de l’attachement


« Les séparations sont faites pour conduire à des transformations »

Mon travail s’adresse plutôt à des professionnels ou des chercheurs qui s’occupent d’enfants ou d’adolescents présentant des troubles du comportement et de la personnalité. Il a essayé de déterminer comment l’institution Internat pouvait ou pourrait utiliser la situation de placement donc la séparation enfants/parents qui l’accompagne avec le plus de congruence possible pour réaliser sa mission de protection et d’éducation (ré). Je tiens à dire que je n’ai pas cherché à déterminer si le placement est une bonne ou mauvaise chose mais dans quelles conditions il peut devenir profitable pour l’enfant.

(...) C’est à partir de la seconde moitié du XXème siècle que les études sur les séparations deviennent plus systématiques et « avec le recul une synergie apparaît entre les thèmes investis par le chercheur et le contexte social, entre l’histoire des idées et celle des hommes : ce n’est pas un hasard si l’étude de la séparation prend naissance au détour d’une période de l’humanité marquée par des millions de morts et de déportations ».

Extraits de « Internat et séparations », par Richard Josefsberg,
Les Cahiers de l'Actif n°306/307, novembre - décembre 2001

SHOAH CLASS ACTION SUIT
Children of Holocaust Survivors to Sue Germany
Spiegel.de/International

A class action suit is to be filed in Israel against the German government on behalf of the children of Holocaust survivors who are in urgent need of psychological treatment.

A class action suit is to be filed in Israel against the German government on behalf of the children of Holocaust survivors.

The lawsuit, which will be filed in Tel Aviv on Sunday, will demand that the German government pay for the psychological treatment of children of Holocaust survivors living in Israel.

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- Le rôle positif de l'action et de l'intervention sociale ? -

La fin des dénonciations anonymes à la justice ?

PARIS (AFP) - Le président de la République Nicolas Sarkozy a annoncé vendredi qu'il souhaitait que les dénonciations anonymes à la justice ne soient plus recevables, lors d'un discours à la garden party offerte par la Garde des Sceaux Rachida Dati.

"J'ai voulu un certain nombre de textes que Rachida a fait passer d'excellente façon, j'en souhaite d'autres : je pense notamment que la pratique des dénonciations anonymes n'est pas compatible avec l'idée que je me fais d'un Etat de droit et d'une république aboutie", a lancé le président.

"Je comprends très bien que tel ou tel soit dénoncé, sans donner son nom au public, mais une dénonciation à laquelle on ne donnerait pas son nom à l'administration, et qui veut nous révéler quelque chose, c'est une pratique d'un autre temps", a-t-il ajouté.

M. Sarkozy a admis des exceptions, notamment "dans des cas très précis, à l'intérieur d'une famille, (lors de) violences sexuelles" ou encore pour la "protection, dans le cas de l'action terroriste".

En dehors de cela, "si un citoyen a quelque chose à dire à la justice de son pays, qu'il le dise et la justice garantira la discrétion", a-t-il dit, estimant que "la dénonciation comme principe, cela rappelle des heures très sombres de notre pays". "Le papier où l'on dénonce sans signer, ce n'est pas l'idée que je me fais de la République".

"On m'appelle à être le garant des libertés et bien en voilà une, ne pas permettre aux revanches de se manifester de façon anonyme", a insisté le président.

Nicolas Sarkozy, avec d'autres personnalités, avait été accusé faussement, sur dénonciation anonyme, de détenir des comptes occultes chez Clearstream, un organisme financier par lequel auraient transité les pots-de-vin de la vente de frégates à Taïwan en 1991.

Il a depuis déposé plainte et s'est constitué partie civile.


- Des pratiques d'un autre temps -

Un deuxième frère de Rachida Dati soupçonné de trafic de stups


Deux frères de Rachida Dati accusés de trafic de cannabis
LEMONDE.FR avec AFP | 13.07.07 | 21h09 |Extrait

SOS-Racisme s'est porté à son secours vendredi en estimant que "Rachida Dati paie, dès son arrivée, le prix fort d'être la première personne issue de l'immigration maghrébine à accéder à une telle responsabilité gouvernementale". La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) a renchéri dans un communiqué. Selon son président Patrick Gaubert, elle "est victime, du fait de la consonance de son patronyme, d'une campagne injuste".


PARIS (AFP) - La semaine de la Garde des Sceaux, Rachida Dati, aurait dû être marquée par le lancement de deux projets phares réformant le monde pénitentiaire, mais c'est l'hémorragie de son cabinet puis les déboires judiciaires d'un de ses frères qui ont retenu l'attention.

PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy s'est rendu vendredi soir à la garden party organisée à l'occasion du 14 juillet par la ministre de la Justice, Rachida Dati, confrontée depuis le début de la semaine à une série de déboires.

(...) "Rachida Dati a une obligation de réussite, parce que sa présence est un message adressé à tous les enfants de France. Par son mérite, par son effort, par son engagement, ça devient possible", a-t-il ajouté.

(...) "Mélanger la famille avec la fonction d'une soeur qui est garde des Sceaux (...) honnêtement, je trouve ça d'une médiocrité absolue", a-t-il dit sur BFM TV.

CHALON-SUR-SAONE (AFP) - Un deuxième frère de la ministre de la Justice Rachida Dati, Omar Dati, fait l'objet d'une procédure judiciaire pour trafic de stupéfiants en Saône-et-Loire, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.

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- Premiers accrocs après le concert de louanges -

Tintin interdit aux mineurs en Grande-Bretagne

Culture Loisirs | Culture
Tintin interdit aux mineurs en Grande-Bretagne
Le Figaro • L’album «Tintin au Congo» a été jugé raciste par la commission britannique pour l'égalité raciale.

Extraits

Des critiques en partie justifiées. L’album, publié à l’époque de la colonisation par les Belges du Congo, justifie la présence coloniale et présente volontiers les Noirs comme de «grands enfants» naïfs. Une vision qui dominait dans l’Europe des années 1930. «Hergé lui-même qualifiait de ‘péché de jeunesse’ » ce second album, reconnaît le Studio Hergé, qui défend l’œuvre du dessinateur.

(...) Borders a retiré l’album de ses rayons «enfants». Le studio Hergé s’est dit «surpris car nous pensions la controverse terminée. Mais nous pouvons comprendre les sensibilités».

«Egmont, l'éditeur britannique de Tintin, a longtemps refusé d'éditer cet album, en raison justement de son caractère colonial, des violences infligées à des animaux et même de la présence de missionnaires catholiques»
, explique le Studio.




Quatre documents sur ac-lille.fr


- 30.000 exemplaires vendus en Grande-Bretagne -

Un nouveau-né vient au monde complètement ivre


Actualité | France
Maris, femmes et argent : une histoire mouvementée
Le Figaro • Les femmes mariées ont dû attendre la loi du 13 juillet 1965 pour acquérir l'autonomie financière. Un droit parfois bafoué, encore aujourd'hui.

Extrait. Rapport de domination, la privation de droits financiers peut ainsi s'accompagner de violences physiques. Des situations fréquentes, selon Marie Bellanger, responsable du 3919, service d'écoute des violences conjugales : « Nombre de femmes battues n'osent pas quitter leur mari ou porter plainte, car ces derniers organisent leur dépendance financière. »


LYON (Reuters) - Une importante opération de police s'est déroulée jeudi soir à Lyon dans le but de déloger les prostituées installées sur le quai de Perrache, à proximité de la gare SNCF.

(...) "Il n'est pas acceptable que des familles et des enfants soient soumis au spectacle sordide de la prostitution", a déclaré Jacques Gérault à la presse, qui avait été informée de l'opération par les services de la préfecture.

"Il n'est pas tolérable d'assister à ce trafic de chair humaine", a-t-il ajouté.


VARSOVIE (AFP) - Un nouveau-né est venu au monde sous l'emprise de l'alcool, sa mère étant complètement ivre au moment de l'accouchement dans un hôpital de Zabrze, dans le sud de la Pologne, a annoncé vendredi la police locale.

Un examen effectué 12 heures après sa naissance a révélé que le nouveau-né avait 1,2 gramme d'alcool dans le sang, ce qui correspond pour un adulte à la consommation d'une bouteille de vin ou de deux litres de bière.

L'enfant se trouvait vendredi en soins intensifs, dans un état stationnaire selon les médecins qui craignaient toutefois des lésions irréversibles au cerveau.


La mère, âgée de 34 ans, s'est enfuie de l'hôpital aussitôt après l'accouchement, mais elle a été arrêtée le lendemain par la police. Les examens n'ont pas décelé de traces d'alcool dans son sang.

"La femme est déjà mère de cinq enfants. Leur garde est confiée aux grands-parents, puisque la mère est privée de ses droits parentaux", a indiqué Marek Wypych, porte-parole de la police locale.

NEW DELHI (Reuters) - L'Inde prévoit d'enregistrer l'ensemble des grossesses dans le pays afin de réduire le nombre des avortements de foetus féminins et d'infanticides de fillettes.

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- La mère, âgée de 34 ans, s'est enfuie -

l'Elysée « raisonnablement optimiste »


PARIS (AFP), extrait - L'Elysée laissait entrevoir vendredi que Cécilia Sarkozy pourrait jouer à l'avenir un rôle d'émissaire informel, au lendemain de la visite surprise en Libye de l'épouse du président qui l'a placée de façon spectaculaire sur le devant de la scène.

Presque deux mois après l'entrée de son époux à l'Elysée, Cécilia Sarkozy, jusqu'à présent fort discrète, est intervenue de façon inattendue dans ce dossier complexe qui mobilise les chancelleries occidentales.

Accompagnée du secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant, elle a rendu visite à Tripoli aux infirmières avant de se rendre à Benghazi (1.000 km à l'est de Tripoli) pour rencontrer les familles des enfants contaminés par le virus du sida. Mme Sarkozy a également rencontré le numéro un libyen, le colonel Mouammar Kadhafi.

Si l'épouse du président, à qui la Constitution n'accorde aucun rôle ni statut, n'a fait aucune déclaration, M. Guéant s'est déclaré "raisonnablement optimiste" à leur retour, affirmant qu'en cas d'issue favorable Mme Sarkozy "aura joué un rôle déterminant".

BRUXELLES (Reuters) - L'Union européenne n'avait pas été informée à l'avance de la visite jeudi en Libye de l'épouse de Nicolas Sarkozy, qui a rencontré les cinq infirmières bulgares condamnées à mort pour avoir inoculé à des centaines d'enfants le virus du sida, apprend-on de source européenne à Bruxelles.

Parlant sous couvert de l'anonymat, des responsables européens n'ont pas caché leur agacement face à ce que certains considèrent comme une tentative du vibrionnant président français de tirer la couverture à lui, à la dernière minute, dans l'éventualité d'un règlement de cette crise à laquelle l'UE travaille depuis des années.

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- L'UE agacée-

Caserne de Malakoff : 4 morts dont 2 enfants


Une porte-parole de la gendarmerie a indiqué que les enfants étaient âgés de 11 et 12 ans, mais de source judiciaire on parle d'adolescents de 13 et 14 ans. Le Monde avec AFP | 13.07.07

MALAKOFF, Hauts-de-Seine (AP) - Un gendarme a tué par balles ses deux enfants et l'un de ses supérieurs hiérarchiques avant de se suicider vendredi dans la caserne de Malakoff (Hauts-de-Seine), a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

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- Deux enfants, âgés d'une dizaine d'années -

Un frère de Rachida Dati jugé en appel pour trafic de drogue


PARIS (Reuters), extrait - L'administration pénitentiaire française s'attend à héberger 80.000 détenus en 2017 alors qu'elle ne disposera que de 64.000 places, rapporte Le Monde daté de samedi.

Le quotidien cite un document de synthèse confidentiel de cette administration qui a été présenté mercredi par la ministre de la justice, Rachida Dati, à l'occasion de la mise en place du comité d'orientation de la future loi sur les prisons.

Personne n'était disponible dans l'immédiat au ministère de la Justice pour commenter l'information.

Les responsables pénitentiaires estiment, selon cette note, que "la surpopulation carcérale, problème majeur, sera (...) durable" et prônent des "efforts budgétaires massifs" entre 2008 et 2012, "sous peine d'une crise majeure", rapporte Le Monde.


Actualité | France
Un frère de Rachida Dati est un récidiviste
Le Figaro, le 13 juillet

Jamal Dati comparaîtra mardi prochain devant la cour d’appel de Nancy pour trafic de drogue. Une récidive en la matière.

STRASBOURG (Reuters) - Jamal Dati, frère du garde des Sceaux Rachida Dati, sera jugé mardi devant la cour d'appel de Nancy avec trois autres prévenus pour un trafic de drogue, a-t-on appris de source judiciaire.

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- La ministre n'a « pas de contact particulier avec lui » -

July 12, 2007

Désamiantage du Clem' : quatre mises en examen


La corruption dans la justice est un vecteur d'instabilité et empêche le développement économique d'un pays. Voilà le nouveau cheval de bataille de l'organisation de lutte contre la corruption Transparency International (TI) qui a rendu public jeudi dans son rapport 2007. 20minutes.fr, 24/5/2007

A lire aussi sur 20minutes.fr : «La justice met beaucoup trop de temps à faire son travail»




DR ¦ Corruption : Les pots de vin restent
courant dans de nombreux domaines


A lire sur le site de TI : Corruption in the judiciary includes any inappropriate influence on the impartiality of judicial proceedings and judgements and can extend to the bribing of judges for favourable decisions, or no decision at all.

Judicial corruption includes :

  • the misuse of judicial funds and power (ie. nepotism or manipulation of contracts for court construction and equipment)
  • biased case allocation and bias in other pre-trial procedures (ie. court clerks bribed to "lose" files and evidence)
  • influence of any trial or court settlement, and the enforcement - or not - of court decisions and sentences

MARSEILLE (AP) - Quatre personnes, qui étaient en garde à vue depuis mercredi dans les locaux de la gendarmerie de Marseille, ont été présentées jeudi à la justice dans le cadre d'une procédure pour "abus de biens sociaux, faux et usage de faux et corruption de personne privée" ouverte au cabinet du juge marseillais Charles Duchaine, a-t-on appris de source judiciaire.

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- Escroquerie au préjudice de l'Etat -

Le juge s'est justifiée par son « intime conviction »

PARIS/STRASBOURG (Reuters) - L'acquittement à Strasbourg des seize co-accusés de Pierre Bodein ravive les questions sur les failles du système judiciaire français, apparues en 2005 après le scandale de l'affaire Outreau.

Acquittés par la cour d'assises du Bas-Rhin d'une participation supposée à l'un des trois meurtres reprochés au multirécidiviste Pierre Bodein, condamné à la perpétuité avec 30 ans incompressibles, huit ont connu la prison et cumulent près de 15 ans de détention provisoire.

Quatre d'entre eux comparaissaient détenus et ont été libérés après le verdict après avoir passé trois ans en cellule. Trois autres suspects du même groupe qui n'ont pu être jugés pour des raisons techniques ont aussi été emprisonnés, dont une femme, toujours détenue aujourd'hui.


Le parquet général, qui avait requis des peines de 10 à 30 ans de réclusion contre cinq accusés acquittés, et trois ans à cinq ans d'emprisonnement contre les 11 autres, n'a pas encore décidé s'il ferait appel.

L'association ATQ-Quart Monde a estimé jeudi que ces "vanniers" ou "yennisch", nom donné en Alsace à ces nomades sédentarisés au mode vie fruste, ont été victimes au départ de préjugés.

"La justice a triomphé sur les préjugés, en dépit de l'incompréhension, la méconnaissance et le mépris qu'entraine le plus souvent l'exclusion sociale. Cette décision rappelle que personne ne doit être considéré a priori comme coupable en raison de son passé ou ses origines", dit-elle dans un communiqué.


L'affaire jugée à Strasbourg pendant trois mois présente de nombreuses analogies avec celle d'Outreau, qui avait abouti à l'acquittement de 13 des 17 personnes accusées de pédophilie lors de deux procès en 2004 et 2005.

DEPOSITIONS D'ENFANTS

Les accusés ont été mis en cause, comme à Outreau, sur le fondement de dépositions d'enfants, suivies de leurs propres aveux et mises en cause réciproques, contradictoires, voire invraisemblables sur certains points, et finalement rétractées.

L'accusation ne disposait, hormis ces éléments, que d'une trace ADN pouvant être reliée probablement, mais sans certitude absolue, à une des victimes, retrouvée un an après les faits sur une couette d'une maison habitée par les suspects.

L'accusation recensait 165 déclarations auto-accusatrices mais la défense mettait en doute leur validité, soulignant le très faible niveau intellectuel des accusés, leur alcoolisme, leur suggestibilité et leur difficulté à résister aux pressions psychologiques imputées aux gendarmes.

L'absence d'enregistrement audiovisuel des dépositions les a fragilisées, comme dans l'affaire Outreau.
Les impératifs de la recherche d'une des victimes ont pu amener des mises en cause incertaines.

"Il est évident qu'à un moment donné, nous avons cru nous-mêmes à leur culpabilité. (Au départ) il fallait sauver une petite fille. On aurait été horribles si on avait demandé à nos clients de se taire", a dit à Reuters Me Thierry Zaiger, un de leurs avocats.

Différence de taille avec le dossier Outreau, où la solitude du juge Fabrice Burgaud était dénoncée, le dossier de Strasbourg a été instruit par deux magistrates, souligne l'avocat.

"(Ce système) a montré ses limites. Il ne marche plus du tout quand les deux juges ne sont pas d'accord", estime Me Zaiger.


La magistrate la plus sceptique, Hélène Blondeau-Patissier, a été dessaisie de l'affaire en cours d'enquête. Citée par la défense au procès, elle a fait part de ses doutes, partagés par certains enquêteurs.

L'autre juge, Lydia Pflug, qui a signé l'ordonnance de mise en accusation, s'est justifiée devant la cour d'assises par son "intime conviction", notion que peuvent retenir les jurés d'assises mais non les juges enquêteurs, qui doivent établir des "charges suffisantes".


- « (Ce système) a montré ses limites » -

RE:Présidence de la République


    SCP/CdO/A000872

    Cher Monsieur,

    Votre message est bien parvenu à la Présidence de la République.

    Je vous remercie très vivement de la confiance que vous témoignez au Chef de l'Etat.

    Aussi puis-je, en réponse à vos réflexions, vous confirmer son engagement personnel pour la libération de Madame Ingrid BETANCOURT, retenue depuis plus de quatre années par les Forces armées révolutionnaires de Colombie.

    Vous le savez, Monsieur Nicolas SARKOZTY a reçu la famille de l'intéressée au Palais de l'Elysée, les 18 mai et 5 juin derniers, soit après la conversation qu'il avait eue, la veille 4 juin, avec le Président de la Colombie, Monsieur URIBE.

    La réponse des FARC au geste du Président colombien, qui a accepté de libérer Rodrigo GRANDA, démontre l'extrême difficulté des négociations menées par la France et ses partenaires, l'Espagne et la Suisse, avec la Colombie pour aboutir à un échange humanitaire des otages.

    Croyez en la détermination du Chef de l'Etat pour lancer, dès qu'il aura une preuve de vie de notre compatriote, des initiatives nouvelles susceptibles d'aboutir à la libération des personnes retenues par les rebelles colombiens, dont Madame BETANCOURT.

    Bien cordialement.
    Le Chef de Cabinet


- Le mail marche bien -

« Arrêt aux expulsions » d'étrangers en situation irrégulière

PARIS (AFP) - Une centaine de sympathisants du Réseau éducation sans frontières (RESF) accompagnés de pilotes d'Air France ont accueilli jeudi les actionnaires de la compagnie venus participer à une AG à Paris en criant "arrêt aux expulsions" d'étrangers en situation irrégulière, a constaté un journaliste de l'AFP.

Les pilotes, hôtesses et stewards en uniforme participant à cette petite manifestation, au nombre d'une dizaine, se sont rassemblés aux alentours de 12H30 devant l'entrée du Carrousel du Louvre, où les actionnaires étaient attendus.

"Arrêt, arrêt aux expulsions", scandait sans relâche l'étrange haie d'honneur venue attendre les actionnaires, dont l'assemblée générale devait débuter à 14H00.


Les manifestants s'étaient réunis à l'appel du Réseau éducation sans frontières (RESF), à la pointe de la mobilisation contre l'expulsion de parents sans-papiers d'enfants scolarisés en France, et des syndicats d'Air France signataires d'un appel à l'arrêt des expulsions rendu public mardi.

"L'élan qui a été pris ne s'arrêtera pas", a assuré Yvon Tuile, de la CGT Air France, présent à la manifestation, en référence à cet appel.


- « L'élan qui a été pris ne s'arrêtera pas » -

« Le père acceptait mal que la mère demande la garde des trois enfants »


Selon les premières constatations des enquêteurs, le père aurait été pris d'un coup de folie à la suite d'une séparation difficile avec son épouse, âgée de 36 ans. Les enquêteurs ont notamment retrouvé «des écrits» sur une table au domicile du père évoquant «la garde des enfants ou son refus de les voir partir chez leur mère», selon M. Montoy.

«Il semble qu'il s'agit d'un drame classique dans les cas de séparation. Les parents sont en instance de divorce et le mari acceptait mal que la mère demande la garde des enfants», a-t-il estimé.

Les parents vivaient dans des domiciles séparés et le père hébergeait ses enfants pour le week-end dans le cadre d'un droit de visite. Il devait rendre les enfants lundi à leur mère. Cette dernière s'est inquiétée mercredi de ne pas avoir de nouvelles de son mari et s'est rendue au commissariat de Montélimar pour porter plainte pour non-restitution d'enfants. Les policiers se sont rendus sur place et ont trouvé les corps.

De source Le Parisien


Le père avoue un triple infanticide à Montélimar Les corps de trois enfants on été retrouvés morts mercredi soir au domicile de leur père • L'homme en fuite a été interpellé dans la nuit, près de Chambéry• Il a reconnu les meurtres
Libé avec AFP, le 12 juillet, extrait

L’homme, un employé de grande surface de 37 ans, «a été placé en garde à vue par les enquêteurs de la police judiciaire et a reconnu avoir tué ses deux filles et son fils, pour des raisons qui restent encore à préciser, mais dans un contexte de séparation conflictuelle», précise-t-on à Valence.

(...) Selon les premières constatations des enquêteurs, le père aurait été pris d’un coup de folie à la suite d’une séparation difficile avec son épouse, âgée de 36 ans. Les enquêteurs ont notamment retrouvé «des écrits» sur une table au domicile du père évoquant «la garde des enfants ou son refus de les voir partir chez leur mère», selon le vice-procureur de la République. «Il semble qu’il s’agit d’un drame classique dans les cas de séparation. Les parents sont en instance de divorce et le mari acceptait mal que la mère demande la garde des enfants.»

GRENOBLE (AP) - Un homme de 37 ans, père des trois enfants âgés de quatre, six et douze ans retrouvés morts mercredi à son domicile de Montélimar (Drôme), a été interpellé dans la nuit de mercredi à jeudi à Cognin, dans la banlieue de Chambéry (Savoie), a-t-on appris de source judiciaire. L'homme se trouvait dans sa voiture en compagnie d'une amie.

Ce père de famille, en instance de divorce et sans histoire jusqu'à présent, aurait tué ses trois enfants -deux filles et un garçon- parce qu'il ne supportait pas la séparation, précisait-on de même source.

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- Trois enfants âgés de quatre, six et douze ans retrouvés morts -

July 11, 2007

« On a acquitté d'un trait de plumes 16 personnes que tout accuse »

STRASBOURG (AFP) - Au terme de trois mois de procès, la Cour d'assises du Bas-Rhin a condamné mercredi Pierre Bodein, dit "Pierrot le fou" à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de 30 ans incompressible, pour trois meurtres d'une violence extrême, deux viols et deux tentatives d'enlèvements.

A l'issue d'un délibéré de plus d'une journée, les jurés se sont conformés aux réquisitions du ministère public qui avait réclamé une "peine de retrait de la société".

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- « J'étais innocent, en tôle pendant deux ans et demi » -

Infirmières bulgares en Libye : peines de mort confirmées


TRIPOLI (Reuters) - Les autorités libyennes ont prévenu que le Haut Conseil judiciaire ne consentirait à leur libération qu'en cas d'accord financier entre les familles des enfants contaminés, qui réclament 10 millions d'euros par enfant, et l'Union européenne.

TRIPOLI (AFP) - La Cour suprême libyenne a confirmé mercredi les peines de mort pour cinq infirmières et un médecin bulgares condamnés pour avoir inoculé le virus du sida à des centaines d'enfants en Libye, mais un règlement de cette affaire qui dure depuis huit ans reste encore possible.

Le verdict est en effet intervenu au lendemain de l'annonce par la Fondation Kadhafi de l'acceptation par les familles des enfants contaminés de compensations financières qui devrait faciliter un dénouement de l'affaire.

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- Un règlement reste possible -