June 26, 2007

l'UNASEA réagit à la diffusion du reportage « Jamais sans ma mère »


Sur psychasoc : « Du bon usage des parents »

Extrait : A partir de là très souvent les travailleurs sociaux se lancent dans la chasse à la culpabilité et à son traitement. Le parent désigné comme coupable doit se plier ou se démettre. S’il accepte de collaborer, de faire tout ce qu’on lui dit : se rendre chez le juge quand il faut, accepter sans rechigner les placements, se contenter du droit de visite qu’on lui, impose, subir un thérapie dont bien souvent il ne comprend pas le sens, améliorer son logement, se mettre au régime, cesser de boire ou de se droguer… - j’en passe et des meilleures - alors c’est un parent qui est sur la bonne voie. S’il se soumet , c’est un bon parent. S’il se récrie, veut donner son avis, conteste les mesures, réclame son enfant, et fait valoir ses droits, il est mauvais : soit on le rejette, soit il faut le dresser.

« Jamais sans ma mère » réaction de l'UNASEA
Posté le 18. juin 2007 17:29
par dd, sur www.travail-social.com

l'UNASEA réagit à la diffusion du reportage « Jamais sans ma mère » de l'émission « Envoyé Spécial » diffusée le jeudi 7 juin 2007 sur France 2.

L'émission « Envoyé Spécial » du jeudi 7 juin 2007 sur France 2 traitait d'’un sujet grave : celui des enfants placés par décision de justice dans un foyer ou en famille d'accueil lorsque son maintien dans sa famille présente un danger.

L'angle de présentation choisi par les journalistes était de suivre des parents qui tentaient de récupérer la garde de leurs enfants pris en charge par l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE).

L'UNASEA, première fédération d’associations de protection de l'enfance à qui des enfants en danger ou en risque sont confiés sur décision judiciaire ou avec l'accord des parents, regrette notamment que ce reportage donne une
image partiale et partielle du travail réalisé par les services sociaux de protection de l’enfance, laissant supposer que les trois cas présentés représentent une majorité de situations.

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- Placés sur décision judiciaire ou avec l'accord des parents -

L'une des fondatrices de Ni putes ni soumises dit être « en colère »


Ni putes, ni soumises, ni de droite
Conseil national de NPNS ce week-end, après l'entrée de Fadela Amara au gouvernement.
Libé, samedi 23 juin 2007, extrait

Pacte avec l'ennemi. L'entrée de Fadela Amara au gouvernement a été accueillie avec perplexité par les responsables de comités locaux, plus nombreux à dénoncer un «pacte avec l'ennemi» qu'à se réjouir d'«une bonne surprise».

Ni putes, ni soumises, ni de droite donc. Les militantes craignent une récupération politique, assimilant leur association au gouvernement. Ce «choix personnel, qui n'engage que Fadela, a déjà un impact fort sur le terrain», relève Riva Gherchanoc, la présidente du comité de Seine-Saint-Denis à Montreuil. Elle a diffusé jeudi une pétition intitulée «NPNS en colère» pour rassurer les sympathisants et rappeler l'indépendance de l'association.

PARIS (AP) - L'une des fondatrices de Ni putes ni soumises, Safia Lebdi, dit être "en colère" après la nomination au gouvernement de l'ancienne présidente du mouvement, Fadela Amara, accusant Nicolas Sarkozy de vouloir "rendre inaudible" le combat de l'association de défense des femmes de banlieues.

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- Des réactions contrastées -

June 25, 2007

L'adolescent fauché par une voiture de police à Marseille est mort

L'adolescent renversé par un voiture de police samedi à Marseille est décédé dimanche soir. Le conducteur, un policier stagiaire de 22 ans, est en garde à vue. Selon des témoins, il serait passé au rouge sans gyrophare ni sirène. De source Libé

PARIS (AP) - "Au boulot". C'est ainsi qu'on pourrait résumer le discours tenu lundi par la ministre de la Justice, Rachida Dati, aux présidents et procureurs généraux de toutes les cours d'appel auxquels elle a présenté son programme pour une justice "ferme et moderne", les incitant à prendre leurs responsabilités.

Si elle a assuré aux magistrats reçus à la Chancellerie qu'elle respecterait leur indépendance juridictionnelle, elle a annoncé qu'elle leur demandera de "rendre compte de l'utilisation faite (...) des deniers publics".

"L'ensemble des décisions individuelles que la justice rend constitue une politique publique dont nous sommes comptables, dont vous êtes comptables", a souligné Rachida Dati
dans un discours assez éloigné des propos feutrés habituellement adressés aux magistrats.

Rappelant les récentes agressions au sein des juridictions, Mme Dati a indiqué qu'elle "prendra (s)a part de responsabilité", mais a ajouté que "l'échelon central ne peut pas tout".

"Il vous revient, je vous l'ai écrit le 9 juin, de prendre les mesures concrètes qui s'imposent", a martelé la ministre renvoyant les premiers présidents de cour d'appel à leur rôle de responsables de la sécurité dans les tribunaux. "La régulation déconcentrée de la sûreté des personnels, ce n'est pas un vain mot", a-t-elle ajouté, rappelant que les retraités de la gendarmerie et de l'administration pénitentiaire pouvaient être mobilisés pour assurer la sûreté des tribunaux. Reste que les réserves de la pénitentiaire (150 personnes, dont 97 mobilisées) et de la gendarmerie, fonctionnant sur la base du volontariat, ne sont guère nombreuses en troupes.

Elle a également confirmé aux chefs de cour qu'elle allait réformer la carte judiciaire, sans pour autant donner des indications sur les échéances ou le contenu de cette réforme. "Tout sera soumis à la discussion. Pour autant, il n'y aura pas de question tabou", a assuré la ministre.

Elle a ainsi demandé aux magistrats de lui "faire part très librement de (leurs) propositions" d'ici le 30 septembre. "Je m'appuierai sur vous. Le succès de cette réforme, ce ne sera pas mon succès. Ce sera le vôtre", a-t-elle ajouté, renvoyant encore une fois la balle aux magistrats.

Elle a également invité les hiérarques judiciaires à lui "faire remonter (leurs) bonnes pratiques en (lui) adressant une note d'ici deux mois (lui) signalant les pratiques innovantes qui ont lieu dans (leurs) ressorts".

"Une justice moderne, c'est une justice qui valorise ses magistrats, ses greffiers et ses fonctionnaires", a conclu la ministre, demandant qu'on lui signale "les greffiers, les fonctionnaires, voire les vacataires de talent". "Je veux qu'ils soient reconnus et valorisés", a-t-elle indiqué.


PARIS (Reuters) - Le Conseil national des barreaux condamne le projet de loi instaurant des peines minimales pour les récidivistes, qui doit être présenté au Sénat le 4 juillet, et demande que soit respecté le principe d'individualisation de la peine.

Il condamne implicitement l'accumulation des textes en rappelant que ce projet, 11e réforme pénale depuis 2002, intervient 18 mois après l'adoption d'un autre texte sur la récidive des infractions pénales et trois mois après la promulgation d'une loi sur la prévention de la délinquance, dont les décrets d'application ne sont pas pris.

"Le Conseil national des barreaux estime que cette succession de textes dans un délai très bref, en l'absence d'étude d'impact et d'évaluation, est faite au détriment, d'une part, d'une véritable réflexion de fond sur les moyens appropriés pour prévenir la récidive, notamment des mineurs, et, d'autre part, de la cohérence des dispositifs répressifs en cette matière", déclare l'organisation d'avocats.

Les avocats souhaitent qu'il "soit impérativement tenu compte des principes d'individualisation des peines, de proportionnalité et de nécessité des délits et des peines, d'interdiction des sanctions automatiques, de spécialité de la justice pénale des mineurs et de l'encellulement individuel".

Le texte que doit présenter la ministre de la Justice, Rachida Dati, instaure des peines minimales pour les délinquants récidivistes, auxquelles les juges ne pourront déroger que par des motivations spéciales. Il stipule qu'après deux crimes ou délits les mineurs de 16-18 ans encourront les mêmes peines que les adultes, les juridictions pouvant cependant rétablir l'excuse de minorité par motivation spéciale.


- Un policier stagiaire -


June 24, 2007

Sur l'A6, les retours de week-end

Je suis toujours dans l'attente de l'arrêt de la cour d'appel de Versailles pourtant rendu le 31 mai dernier.

Sur l'A6, les retours de week-end :





Comme je me suis fait chasser par la police, je me suis rendu un peu plus loin, sur l'A86 :





- « Justine, 14 ans, otage de Nanterre » -

L'adolescent de 14 ans entre la vie et la mort

MARSEILLE (AFP) - L'adolescent de 14 ans renversé samedi à Marseille par une voiture de police se trouvait dimanche entre la vie et la mort alors que des témoins mettent en cause les policiers en affirmant qu'ils sont passés au feu rouge sans avoir actionné leur sirène pour prévenir.

Le jeune garçon "est toujours dans un état grave. Le pronostic vital est engagé", a indiqué dimanche l'Assistance publique des hôpitaux de Marseille (APHM).

La collision s'est produite à un carrefour dans le quartier Saint-Joseph (14ème arrondissement), alors que l'adolescent traversait sur un passage piéton en poussant son vélo. Sous la violence du choc, la victime, qui se trouvait avec son grand frère et un ami, a été projetée à une vingtaine de mètres.

Selon des témoins, la voiture de police est passée au feu rouge, doublant sur la gauche un autre véhicule arrêté avant de heurter de plein fouet l'adolescent.

"Il y avait une voiture arrêtée au feu rouge. Le petit, il a attendu que le bonhomme soit vert pour traverser", a déclaré un témoin de la scène à la radio France Bleu Provence.

Selon ce témoin, les policiers n'auraient pas immédiatement porté secours à la victime, appelant d'abord des renforts. "La première chose qu'ils m'ont dite, c'est +on est passé au vert+. C'est pas vrai, ils sont passés au rouge", a affirmé ce témoin.

Interrogé par le quotidien régional La Provence, un voisin habitant juste en face du carrefour dit avoir entendu "un grand bruit" mais il n'a "pas de souvenir de freinage ni d'avertisseur sonore".


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- un voisin habitant juste en face « n'a pas de souvenir » -

Fillettes placées : les parents veulent porter plainte

MONTPELLIER (AP) - Un jeune couple de Belpech (Aude), dont les deux petites filles ont été placées dans deux familles d'accueil après une lettre de dénonciation accusant le père de pédophilie sur la plus jeune, a annoncé samedi son intention de porter plainte.

Les enfants ont été rendus à leurs parents après qu'un examen médico-légal a établi que l'enfant n'avait pas subi de sévices.


Catherine Keller, infirmière à la maison de retraite de Belpech, a déclaré samedi à l'Associated Press que son mari Stéphane et elle-même avaient l'intention de porter plainte. "Notre avocat (Me Yves Férès, Carcassonne, NDLR) attend le retour de vacances du procureur pour lui communiquer l'ensemble des pièces du dossier", a confié la mère. "Nous ne voulons pas engager des poursuites qui ne pourraient pas aboutir, voire qui pourraient se retourner contre nous".

Les deux fillettes, âgées de deux ans et demi et trois ans et demi, avaient été placées dans deux familles d'accueil distinctes entre le 24 mai et le 8 juin sur la base d'une lettre de dénonciation accusant le père de pédophilie sur la plus jeune de ses filles.

Selon le courrier parvenu au parquet de Carcassonne, la plus petite des deux soeurs aurait été surprise le 10 mai par une employée de la crèche en train d'enfoncer une brindille dans les fesses de son doudou. Elle aurait dit: "Papa a mis son kiki dans mon kiki".

Catherine Keller s'est étonnée que le délateur ait mis du temps à envoyer la lettre. "Si on juge un enfant en danger, on n'attend pas quinze jours. Cela semble le temps nécessaire pour bien ficeler un règlement de compte", a-t-elle souligné, précisant que la lettre n'était pas anonyme. Selon elle, son auteur l'a signée mais ne décline pas son état civil. "Les services de gendarmerie m'ont déclaré avoir identifié la personne qui a rédigé la lettre".

Le père siège depuis un an au conseil d'administration de la crèche de Belpech, gérée par l'association Familles Rurales. D'après Mme Keller, ses positions n'auraient pas plu à tout le monde. "Il a dit qu'il ne comprenait pas que la directrice ne soit présente que deux jours par semaine. D'autre part, il s'étonnait que des atteintes soient portées à certaines employées pour les faire licencier", a-t-elle poursuivi. L'enquête pénale suit son cours. Pour déterminer si la fillette devait être auditionnée par la gendarmerie, Catherine Keller a amené vendredi sa fillette chez un pédopsychiatre de Narbonne.

Cette mère de famille a dénoncé "un emballement des procédures qui n'a pas lieu d'être". "Une enquête préalable aurait évité tout ça. On ne comprend pas les motivations qui ont mené à ce signalement", a-t-elle confié. Et d'ajouter: "Je n'ai aucun doute sur mon mari. Notre couple est plus solide que jamais. Nous ne sommes pas des parents parfaits, mais nous ne sommes pas des parents maltraitants. Nous aimons nos enfants". Depuis leur retour au domicile familial, les deux fillettes sont, d'après leur mère, "perturbées". "L'angoisse de la séparation est exacerbée", conclut-elle.

MARSEILLE (AP) - Un adolescent de 14 ans, qui traversait sur un passage piéton à Marseille, a été percuté de plein fouet samedi après-midi par un véhicule de police, a-t-on appris de source policière.

Il a été transporté dans un état grave à l'hôpital Nord. Son pronostic vital est engagé, d'après les pompiers.

Le conducteur du véhicule de police a été placé en garde à vue dans la soirée pour les nécessités de l'enquête.

Selon de nombreux témoins de l'accident, survenu dans le quartier de Saint-Joseph, la voiture de police roulait à vive allure. Plusieurs d'entre eux rapportent que la victime a été projetée à plus d'une vingtaine de mètres. Cependant, les déclarations divergent sur l'utilisation du gyrophare et de l'avertisseur sonore.

Sur les lieux de l'accident, d'importantes forces de police ont été dépêchées, afin de ramener le calme parmi la population très affectée par les circonstances de l'accident.

Très choqués, les fonctionnaires de police qui se trouvaient dans le véhicule ont également été transportés à l'hôpital.


- Les enfants ont été rendus à leurs parents -


June 23, 2007

Le périph, à hauteur de porte de Charenton





- Deux heures de lecture -

« On ne sait pas où sont placés vos enfants »

Règlement de comptes à la crèche
Le père de deux fillettes a été innocenté des accusations d'inceste portées contre lui.
Libé, le 23 juin

C'était le 24 mai, à l'avant-veille du long week-end de la Pentecôte. M. et Mme Keller s'apprêtent à aller chercher à la crèche et à l'école maternelle de Belpech (Aude) leurs deux filles, âgées de 3 et 5 ans. Mais à 16 heures la mère reçoit sur son lieu de travail un appel téléphonique du centre médico-social de Castelnaudary, qui lui apprend qu'ils ne pourraient pas «récupérer [leurs] enfants à la fin de la classe parce qu'ils ont été placés par le procureur de la République dans deux familles d'accueil séparées». Stéphane Keller, le père, raconte : «Ma femme a demandé des explications. On lui a répondu : "On ne peut rien vous dire. On ne sait pas où sont placés vos enfants."»

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- « Nous sommes tenus par le secret professionnel » -

June 20, 2007

A l'attention de Rachida Dati

Lettre ouverte - Au format PDF, avec les pièces jointes

Madame le Garde des Sceaux
et Ministre de la Justice,

Vous avez récemment déclaré que la France ne serait pas raciste, qu'il y aurait dans ce pays des valeurs et des principes non négociables. Permettez moi d’en douter ; vous trouverez ci-joint trois récépissés de dépôts de plainte – dont une pour discrimination raciale – qui sont toutes sans suite connue malgré mes relances auprès du Procureur de la République de Nanterre.

Parmi les pièces jointes vous trouverez aussi une lettre ouverte que j’adressais au juge pour enfant de Nanterre en novembre 2006. Cette lettre dans laquelle je me plaignais encore d’abus de pouvoir est tout simplement restée morte.

D'autre part, le 17 mai dernier j'écrivais au Président de la République et je l'informais que le contrôle que je réclame depuis mi 2005 et que je réclamais encore début 2007 n’a toujours pas eu lieu. Cette correspondance est également parmi les pièces jointes.

Je souhaiterai vous rencontrer afin de vous exposer le contenu du dossier d’assistance prétendue éducative de ma fille aînée, Justine, 14 ans.

Dans l’attente d'une proposition de rendez-vous…

LYON (Reuters), le 15 juin 2007 - « Non, la France n'est pas raciste », a-t-elle riposté avec vigueur à un jeune intervenant qui se plaignait des contrôles policiers trop fréquents à son goût. « Ne dites pas que la France est raciste, il y a dans ce pays des valeurs et des principes qui ne sont pas négociables. »

« La République, ce n'est pas donner la même chose à chacun » a déclaré Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur, devant le 89e congrès des maires – AP, le 23 novembre 2006.

Roger Fajnzylberg, directeur général de l’OSE, dans Tribune Juive n°9 : « Mais pensez-vous vraiment que l’OSE prendrait un enfant dans une famille simplement pour le plaisir ? »


- La France aurait des valeurs et des principes non négociables -

Deux responsables du Leclerc de Montbéliard mis en examen


PARIS (AP) - La population carcérale a augmenté de 0,3% au 1er juin dernier, passant à 60.870 contre 60.698 au 1er mai, et le nombre de mineurs incarcéré augmentant de 10%, s'élevant à 784 contre 712, selon les statistiques fournies mercredi par l'Administration pénitentiaire, qui se refuse à comptabiliser le nombre de places en prison.

Selon la "Lettre sur les questions pénales et criminologiques", publiée le 15 juin par Pierre Tournier, directeur de recherches au CNRS, le nombre de places serait de 50.329. On en arriverait donc à 121 détenus pour 100 places.

STRASBOURG (Reuters) - Le directeur de l'hypermarché Leclerc de Montbéliard (Doubs) et un chef de rayon ont été mis en examen pour "séquestration et entrave à la liberté du travail" dans le cadre d'une information judiciaire ouverte après une plainte de l'inspection du travail, apprend-on de source proche du dossier.

Une cinquantaine de salariés avaient été enfermés durant trois quarts d'heure dans une réserve, le 30 juin 2006 au soir, un jour d'inventaire, pour les soustraire à la vue des inspecteurs du travail venus inopinément contrôler la situation.

"Ils effectuaient des heures supplémentaires sans être payés", a déclaré Cyril Keller, secrétaire de l'union locale CGT du Pays de Montbéliard qui s'est portée partie civile.

Le P-DG du magasin, Bernard Canonne, s'était excusé auprès des salariés et avait mis à pied son directeur. L'inspection départementale du travail a porté plainte pour travail dissimulé.


- Enfermés pour les soustraire à la vue des inspecteurs -

La mère aurait constaté son absence à la crèche

BÉZIERS (AFP) - Une petite fille de 19 mois a été retrouvée morte de déshydratation dans une voiture où elle avait été oubliée par son père, jeudi, dans la zone industrielle de Béziers (Hérault), a-t-on appris de sources concordantes.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le père avait été chargé le matin par son épouse d'emmener l'enfant à la crèche. En chemin, il se serait arrêté au bureau et aurait "oublié" la petite fille dans la voiture.

La mère, en allant chercher l'enfant à la crèche en fin d'après-midi, aurait constaté son absence. L'alerte aurait été donnée vers 16h45.

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- Le père aurait « oublié » la petite fille dans la voiture -

La promotion de Fadela Amara critiquée

En banlieue, les associations saluent "l'ouverture à la diversité"
Le Monde, le 20 juin, extraits

Alors que les choix de Rachida Dati, pour le ministère de la justice, et de Rama Yade, pour le secrétariat d'Etat aux droits de l'homme, ne soulèvent aucune polémique, la promotion de Fadela Amara est néanmoins critiquée par une partie des associations. D'abord parce que la nouvelle secrétaire d'Etat est accusée d'avoir donné une image trop négative des banlieues à travers la dénonciation des violences faites aux femmes et du sexisme des jeunes hommes. "Fadela Amara a été très attaquée par des associations qui estimaient qu'elle stigmatisait beaucoup trop les jeunes des quartiers", explique Sonia Imloul, présidente de Respect 93, membre du Conseil économique et social.

Dans un univers où les divisions sont parfois très profondes, des responsables associatifs l'accusent de parler des banlieues sans connaître le terrain et d'utiliser les médias pour son intérêt personnel.
"Vu de Saint-Germain-des-Prés, elle donne peut-être l'impression d'être dans les quartiers. Mais pour ceux qui y travaillent, qui sont dans les tribunaux avec les jeunes, qui soutiennent les familles dans leurs tâches d'éducation, qui font du soutien scolaire, ça fait belle lurette qu'on n'entend plus parler d'elle", relève ainsi Stéphane Ouraoui, président de l'association Pas de quartier, tous citoyens, qui ne craint pas, contrairement à d'autres responsables, de parler à visage découvert.

L'engagement de Mme Amara auprès de Nicolas Sarkozy, toujours aussi rejeté dans les cités populaires, risque d'ajouter une couche supplémentaire dans les critiques. Y compris parmi ses anciens soutiens. Au sein de l'association Ni putes ni soumises, qui faisait déjà l'objet de réactions hostiles en raison de ses prises de position féministes, on s'inquiète ainsi ouvertement des conséquences de la "trahison" de la fondatrice. "Notre démarche n'est jamais facile dans certaines cités. Sa nomination ne va pas simplifier le dialogue, certains comités locaux vont se trouver en difficulté", note Riva Gherchanoc, présidente du comité local de Seine-Saint-Denis.


- Sa nomination ne va pas simplifier le dialogue -

L'Elysée invoque la présomption d'innocence pour André Santini

PARIS (Reuters) - André Santini, nommé au gouvernement malgré sa mise en examen dans une affaire de détournement de fonds publics, bénéficie de la présomption d'innocence mais quittera le gouvernement s'il est envoyé en correctionnelle, déclare-t-on à l'Elysée.

Elisabeth Borrel : « Il n'y aura plus les obstructions qu'on a connues »
Reçue mardi matin par Nicolas Sarkozy, Elisabeth Borrel, veuve du juge français retrouvé mort à Djibouti en 1995, dit avoir constaté un « vrai changement de ton » dans la manière d'aborder le dossier.
Sur Libé, le 20 juin 2007


Nico Shark tire sa révérence par une pirouette, "sans censure"
LEMONDE.FR | 20.06.07 | Extrait

Las ! Contacté en fin de journée, Frantico a mis fin aux spéculations qu'il avait lui-même suscitées : "J'aurais pu continuer pendant cinq ou dix ans. Mais à un moment, c'est décourageant de remettre le couvert sur ces types intouchables", justifie-t-il. Frantico, derrière lequel se trouve le dessinateur Lewis Trondheim, estime avoir rempli deux de ses objectifs dans l'aventure Nico Shark : "Tenter d'exorciser mon rejet de Sarkozy sans cramer des poubelles" et "voir si j'étais capable de faire dessinateur politique". L'auteur de la série "Lapinot" reconnaît par contre son échec, au moins provisoire, dans sa tentative de "créer un gigantesque mouvement pour déstabiliser le gouvernement".

L'arrêt "brusque" de la carrière de Nico Shark visait à éviter une "routine", même agréable, analyse Frantico. "Ça me semblait logique, donc, de couper la chique à cette histoire, par une mise en abyme entre l'univers de Shark et celui de Sarkozy", dit-il.

"Quant à l'histoire de la censure, il n'y en a, bien sûr, pas eu", précise, à bon entendeur, Frantico.

Sur http://www.zanorg.com/nicoshark/


- Nommé au gouvernement malgré sa mise en examen -

June 19, 2007

N118, à Vélizy

Les juges de Nanterre et Maître Roughol ne supportent pas la publicité, peu m'importe à tel stade de cette mascarade de justice. Tout exposer encore du rapt de mon aînée et des méthodes de Nanterre et de l'OSE France ne pourra plus qu'améliorer la situation de mes deux enfants.





RUNGIS (AP) - Les deux malfaiteurs qui ont pris en otages six personnes mardi dans une succursale du Crédit Lyonnais sur le marché d'intérêt national de Rungis se sont rendus sans "aucune résistance", a expliqué sur RTL le chef du RAID, l'unité d'élite d'intervention de la police nationale.

MILAN (AFP) - Le tribunal de Milan (nord) qui juge 26 agents de la CIA par contumace pour le rapt d'un ex-imam égyptien a renvoyé lundi le procès au 24 octobre dans l'attente d'une décision sur un recours du gouvernement italien, une première victoire pour la défense.

PARIS (AFP) - Le procureur de la République, Jean-Claude Marin, a confirmé mardi soir dans un communiqué l'origine criminelle de la mort du juge Bernard Borrel, dont le corps avait été retrouvé en 1995 au bas d'un ravin à Djibouti.

PARIS (Reuters) - La justice retient la thèse d'un homicide et non plus celle du suicide dans l'enquête sur la mort du magistrat français Bernard Borrel, en 1995 à Djibouti, déclare officiellement mardi soir le procureur de la République de Paris dans un communiqué.


- Une banderole bien en vue, 10 000 véhicules -

L’OSE en question : piques et polémiques


Une opportunité pour envoyer un email à l'OSE France, à l'attention du service communication et de Roger Fajnzylberg :

Bonjour,

Je m'apperçois que Monsieur Fajnzylberg a été interviewé par Tribune Juive.

Cordialement,
Bruno KANT
http://justice.cloppy.net

T. J. : SOS Nechama redoute la perte d’identité de ces enfants…

R. F. : C’est absurde !
La réalité, c’est que certaines familles juives ne voient pas d’inconvénients à placer leurs enfants dans des familles non-juives. Il ne faut pas faire de tous les enfants de la communauté un bloc unique et homogène et leur imposer des normes qui ne seraient pas les leurs. Qu’on se rassure, l’OSE n’est pas coupable de détournement d’identité.


L’Œuvre de protection aux enfants juifs

En France, il y a deux organismes chargés de s’occuper des enfants juifs : l’OSE et l’OPEJ
, l’OEuvre de protection aux enfants juifs. Créée durant la guerre, l’association cachait des enfants juifs menacés d’arrestation et de déportation. Aujourd’hui, l’OPEJ ne s’occupe pas de placement familial, mais gère deux foyers pour enfants, particulièrement des enfants juifs, en difficulté. «Nous accueillons des enfants de toutes origines, mais nous nous efforçons de préserver la judéité des enfants», confirme une éducatrice de l’OPEJ. Les fêtes juives sont ainsi respectées et la nourriture est cacher. Pour elle, «c’est tout le système social français qui ne tient pas compte de la religion des enfants. République oblige. Les organismes veulent être libres de toute contingence identitaire».

De source Tribune juive :
L’OSE en question : piques et polémiques

L’OEuvre de secours aux enfants est chargée du placement des enfants juifs.
Ils sont de plus en plus nombreux à être hébergés au sein de familles non-juives. Et malgré l’obligation qui leur est faite de respecter la religion de l’enfant, peu le font. Les familles et les associations s’inquiètent.

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- Fumisterie, l'OSE France ne fait pas son travail -